Crise tracas fracas pour le climat, clique armée et fonce-déPour nager dans la rhala, un brin de paranoïa f*** I'feu àla smalaS'mêle à ça un système qui nous prend pour des rats,Des égoûts aux dégoûts des balles perdues trouent lesgenoux,Flinguent dingues pour des fringues et des bijouxNarco bibi zetla c'est la seule issue iciIci tout est pourri comme les flaques de pipiDirection système nerveux, un max de pression,Rue piège, neuf keufs contrôlent les stations,Faction de CRS, coups de bâton pour les ratons,Le sang des innocents se verse dans la confusion.En temps de trime tous les chemins mènent au crime,Les ombres tombent c'est la relève qui domine.Au jour le jour faut faire du blé pour s'en sortir, frère.C'est pas de l'intox dans le vomi de tox tu peux le dire.On s'pète la tête, éclate des types secs, prises de bec,nardine bebek,Beef de click pour du beefsteakInfecté par du joko infectEt dans la place beaucoup de frères qui s'injectent{Refrain:}Mais où on va, là ?Partout c'est la rahla.Tiens toi, marche droit,Garde la tête haute, gars,Partout c'est la rahla.Tiens toi, marche droitGarde la tête haute, gars.Sol brûlant, terre craquée, terrain mouvant,Univers de feu, magma qui sort d'un volcan,Je ne vois plus que des flammesLa foule court face à I infâme,La ville entière crame face au drameVitres cassées, caisses cabossées,Porte-feuilles escamotés, coups montés,Jeunes femmes hantées, avenir tout démontéFlics nerveux et torchés, rues mal éclairées.Gamins arrêtés, plus tard machabées,Jeunesse énervéePas de fuite par le nord, par le sud pas de suite,Pas d'issue, bienvenue dans la zone interdite,68 en 97, changement de facette,Rebellions, conspirations, lascards en action.Coups de genoux coups de coudes,Low kicks droites et frontales,Pibulls rotweillers 9 milli et balles,C'est d'la balle,Vice, instinct animal,Ça fait mal,Cent pour cent destin fatal.{au Refrain}Bornés et têtus, on s'entretueDans les soirées on perd la têteFace aux média qui viennent nous casser.Parfois des groupes dégainentDes rap-shows sur les fachosOn reste statiques, immobiles comme des poteaux.On pête les boulons au lieu d'aller mater les cons àToulon,On mate la télé, imite les Smith et Wesson, voyons,Qu'on deale et qu'on casse des gueules c'est ce qu'ils veulent,Photomaton flagrant délit c'est ce qu'ils veulent.Broyer notre image pour faire de nous des sauvagesAprès justifie le fait qu'ils nous mettent dans des cages