Sur le sol, en un trait incolore, se trouve un cercle
Dont le diamètre est une donnée en rapport
Avec mon corps et considérée comme secrète.
Tout comme le capuériste qui maîtrise.
Je me préserve de la bise, qui s'obstine à souffler
Sur mon être souple et agile,
me mettre hors de combat est une tache bien difficile,
Tant je possède cet art qui m'aide à écarter tout danger
Venant de n'importe quel bipède
Dans cet espace circulaire, je suis le maître, dans mon cercle,
Je veux qu'on me respecte.
Laisser filer s'effriter s'effacer les jours les nuits les mois les années,
S'efforcer sans s'enfoncer de s'affirmer dans un cercle fermer
Et faire en sorte que finalement entre les différentes sphères fusionnent les idées
Refrain
Laisser filer s'effriter s'effacer les jours les nuits les mois les années,
S'efforcer sans s'enfoncer de s'affirmer dans un cercle fermer
et faire en sorte que finalement entre les différentes sphères fusionnent les idées
Tout autour de moi une paroi lisse comme glaciale cette fois
Je vois mon cercle c'est un peu spécial
Sur cette bulle reflète les souvenirs.
Les moment forts de ma vie, je vois ceux que j'ai rencontré aimé
Et ceux qui m'ont appris, ceux qui sont partis aussi et tous ceux qui m'ont écris.
Tout est là, je me vois moi ou plutôt ce qui fait que je suis là,
C'est la basez, l'unité de base,
Où viennent se greffer proches et amis et le cercle s'agrandit.
La vigilance s'impose quand les forces s'opposent,
S'opère souvent cette métamorphose,
Ils se renferment dans leurs cercle pour fuir la réalité
Qui devient trop concrète pour finir, un peu trop abstraite,
C'est traître, c'est tomber de Charybde en Scylla sans le toucher,
La force des autres on est pas mais sans sa propre vue,
On est pas non plus, le dilemme est individuel,
Chacun cherche a faire briller sa propre étincelle
Et même pour que cela tienne, l'élévation se doit de se conjuguer au pluriel...
Refrain
Vient donc voir chez moi, plongeons dans le ghetto où ici et la,
Des jeunes femmes se battent pour leurs droits.
Dans certaines c**tures à une autre époque,
Les femmes étaient des servantes, des objets ou des loques,
Mais elle et ses sœurs s'en moquent.
Elles ne veulent rien entendre de leur père
Surtout quand il évoque le passé,
Le temps ou les femmes accomplissaient toutes les besognes sans protester.
Ce temps est finit, le père prétexte qu'il est chez lui, ses filles le sont aussi.
Elles n'a**imilent pas leur lutte quotidienne a un combat
Pour la femme mais pour elles, c'est pour leur vie qu'œuvres ces demoiselles,
Leur mérite est intrinsèque, dans leur cercle
Elles sont en droit d'attendre qu'on les respecte.
Elles dans une téci de Bobigny, moi sur mon tatami :
Je lutte, je résiste, je veux être, dans mon cercle je suis le maître
Dont le diamètre est une donnée en rapport
Avec mon corps et considérée comme secrète.
Tout comme le capuériste qui maîtrise.
Je me préserve de la bise, qui s'obstine à souffler
Sur mon être souple et agile,
me mettre hors de combat est une tache bien difficile,
Tant je possède cet art qui m'aide à écarter tout danger
Venant de n'importe quel bipède
Dans cet espace circulaire, je suis le maître, dans mon cercle,
Je veux qu'on me respecte.
Laisser filer s'effriter s'effacer les jours les nuits les mois les années,
S'efforcer sans s'enfoncer de s'affirmer dans un cercle fermer
Et faire en sorte que finalement entre les différentes sphères fusionnent les idées
Refrain
Laisser filer s'effriter s'effacer les jours les nuits les mois les années,
S'efforcer sans s'enfoncer de s'affirmer dans un cercle fermer
et faire en sorte que finalement entre les différentes sphères fusionnent les idées
Tout autour de moi une paroi lisse comme glaciale cette fois
Je vois mon cercle c'est un peu spécial
Sur cette bulle reflète les souvenirs.
Les moment forts de ma vie, je vois ceux que j'ai rencontré aimé
Et ceux qui m'ont appris, ceux qui sont partis aussi et tous ceux qui m'ont écris.
Tout est là, je me vois moi ou plutôt ce qui fait que je suis là,
C'est la basez, l'unité de base,
Où viennent se greffer proches et amis et le cercle s'agrandit.
La vigilance s'impose quand les forces s'opposent,
S'opère souvent cette métamorphose,
Ils se renferment dans leurs cercle pour fuir la réalité
Qui devient trop concrète pour finir, un peu trop abstraite,
C'est traître, c'est tomber de Charybde en Scylla sans le toucher,
La force des autres on est pas mais sans sa propre vue,
On est pas non plus, le dilemme est individuel,
Chacun cherche a faire briller sa propre étincelle
Et même pour que cela tienne, l'élévation se doit de se conjuguer au pluriel...
Refrain
Vient donc voir chez moi, plongeons dans le ghetto où ici et la,
Des jeunes femmes se battent pour leurs droits.
Dans certaines c**tures à une autre époque,
Les femmes étaient des servantes, des objets ou des loques,
Mais elle et ses sœurs s'en moquent.
Elles ne veulent rien entendre de leur père
Surtout quand il évoque le passé,
Le temps ou les femmes accomplissaient toutes les besognes sans protester.
Ce temps est finit, le père prétexte qu'il est chez lui, ses filles le sont aussi.
Elles n'a**imilent pas leur lutte quotidienne a un combat
Pour la femme mais pour elles, c'est pour leur vie qu'œuvres ces demoiselles,
Leur mérite est intrinsèque, dans leur cercle
Elles sont en droit d'attendre qu'on les respecte.
Elles dans une téci de Bobigny, moi sur mon tatami :
Je lutte, je résiste, je veux être, dans mon cercle je suis le maître