La nuit on s'inventait de la lumière,
en se parlant de tout, de rien, d'amour,
et quand on avait bien refait la terre,
sur terre il faisait jour.
Le ciel nous allumait de la musique, et toi...
toi tu me préparais un bon café,
et puis je m'en allais, comme d'habitude,
en rêvant de rester.
C'était timide et c'etait formidable.
Dans un baiser on retenait le temps.
La vie était ma femme
et tu lui donnais une âme.
L'éternité tenait dans cet moment...
Je sais que tout s'en va, que tout s'efface,
je sais la nostalgie qui va venir,
mais ces moments qui passent
sont les sourires de mes souvenirs.
C'était un arc-en-ciel notre aventure,
soleil et pluie, mais toutes les couleurs.
Avec le temps se ferme la blessure;
il reste la douleur.
J'étais le prisonnier de tes caresses et toi
tu me parlais toujours de liberté,
et le silence qui suivait ton rire
avait l'air de chanter.
Sans être Roméo j'avais Juliette
et la légende était réalité.
Tu me mentais peut-être,
mais tu savais m'apparaître
plus belle encore que la verité.
Je sais la page blanche de l'absence,
mais dan mon coeur, où tout reste à écrire,
tous ces moments qui dansent
sont les sourires de mes souvenirs.
en se parlant de tout, de rien, d'amour,
et quand on avait bien refait la terre,
sur terre il faisait jour.
Le ciel nous allumait de la musique, et toi...
toi tu me préparais un bon café,
et puis je m'en allais, comme d'habitude,
en rêvant de rester.
C'était timide et c'etait formidable.
Dans un baiser on retenait le temps.
La vie était ma femme
et tu lui donnais une âme.
L'éternité tenait dans cet moment...
Je sais que tout s'en va, que tout s'efface,
je sais la nostalgie qui va venir,
mais ces moments qui passent
sont les sourires de mes souvenirs.
C'était un arc-en-ciel notre aventure,
soleil et pluie, mais toutes les couleurs.
Avec le temps se ferme la blessure;
il reste la douleur.
J'étais le prisonnier de tes caresses et toi
tu me parlais toujours de liberté,
et le silence qui suivait ton rire
avait l'air de chanter.
Sans être Roméo j'avais Juliette
et la légende était réalité.
Tu me mentais peut-être,
mais tu savais m'apparaître
plus belle encore que la verité.
Je sais la page blanche de l'absence,
mais dan mon coeur, où tout reste à écrire,
tous ces moments qui dansent
sont les sourires de mes souvenirs.