Je sais que tu délires, de mes délires.
Et que tu dis partout, que je ne t´aime plus.
Tu m´as aimé, je t´ai aimé, c´est une morsure,
Qui peut nous dire, qui mord le premier.
Tout ce que l´on raconte, c´est des mensonges.
Qui sait jamais qui perd, ou qui va gagner.
Nous sommes tous les deux sur la même monture,
D´un cheval ivre qui peut détruire ce qu´est l´amour.
{Refrain:}
Nous, pauvres coeurs de papier
Où s´écrit l´espérance de savoir aimer.
Où s´étire la misère d´être sur la terre
A détruire nos vies et subir la folie d´un amour fracassé.
Pauvres coeurs de papier
Tout ce que l´on raconte, c´est des mensonges.
Qui sait jamais qui perd, ou qui va gagner.
Nous sommes tous les deux sur la même monture,
D´un cheval ivre qui peut détruire ce qu´est l´amour.
Et que tu dis partout, que je ne t´aime plus.
Tu m´as aimé, je t´ai aimé, c´est une morsure,
Qui peut nous dire, qui mord le premier.
Tout ce que l´on raconte, c´est des mensonges.
Qui sait jamais qui perd, ou qui va gagner.
Nous sommes tous les deux sur la même monture,
D´un cheval ivre qui peut détruire ce qu´est l´amour.
{Refrain:}
Nous, pauvres coeurs de papier
Où s´écrit l´espérance de savoir aimer.
Où s´étire la misère d´être sur la terre
A détruire nos vies et subir la folie d´un amour fracassé.
Pauvres coeurs de papier
Tout ce que l´on raconte, c´est des mensonges.
Qui sait jamais qui perd, ou qui va gagner.
Nous sommes tous les deux sur la même monture,
D´un cheval ivre qui peut détruire ce qu´est l´amour.