Je prendrai le dessin de tes lèvres
qui chante sans dire un mot,
ton regard qui défie ou qui rêve
où vont danser les oiseaux.
Je prendrai tes cheveux où s'allument
les mille soleils d'eté,
et ce rien d'injustice ou de brume,
ces mots qui te font pleurer.
Je prendrai ta lumière,
car tu es la première
qui a su èclairer ma chanson.
Puis j'irai le crier à la terre:
C'est toi ma chanson.
Je prendrai tous tes gestes qui volent,
qui sont si légers, légers,
et tes mains dont les lignes un peu folles
m'on fait longtemps voyager.
Je prendrai ta pudeur et ta tendresse,
le mal que tu fais souvent.
Je prendrai tout de toi: la tigresse,
la louve et, surtout, l'enfant.
Je prendrai tes colères,
tes espoirs, tes misères,
ces que tu m'as donné de passion,
et j'irai le crier à la terre
c'est toi ma chanson.
Je prendrai ta lumière,
car tu es la première,
qui a su eclairer ma maison...
Puis j'irai le crier à la terre
c'est toi ma chanson.
Laralá, laralá, laralaila,
lará, laralá, lalá.
Laralá, laralá, laralaila,
lará, laralá, lalá.
qui chante sans dire un mot,
ton regard qui défie ou qui rêve
où vont danser les oiseaux.
Je prendrai tes cheveux où s'allument
les mille soleils d'eté,
et ce rien d'injustice ou de brume,
ces mots qui te font pleurer.
Je prendrai ta lumière,
car tu es la première
qui a su èclairer ma chanson.
Puis j'irai le crier à la terre:
C'est toi ma chanson.
Je prendrai tous tes gestes qui volent,
qui sont si légers, légers,
et tes mains dont les lignes un peu folles
m'on fait longtemps voyager.
Je prendrai ta pudeur et ta tendresse,
le mal que tu fais souvent.
Je prendrai tout de toi: la tigresse,
la louve et, surtout, l'enfant.
Je prendrai tes colères,
tes espoirs, tes misères,
ces que tu m'as donné de passion,
et j'irai le crier à la terre
c'est toi ma chanson.
Je prendrai ta lumière,
car tu es la première,
qui a su eclairer ma maison...
Puis j'irai le crier à la terre
c'est toi ma chanson.
Laralá, laralá, laralaila,
lará, laralá, lalá.
Laralá, laralá, laralaila,
lará, laralá, lalá.