Elle s'est pendue à mes basques
Toute enfouie dans mes cheveux
Et personne ne remarque
Elle s'enroule dans tous mes rêves
Elle me dicte mot à mot
Ce que je lui dois, sans trêve
Pour elle je cherche mes lumières
Pour qu'elle aime s'endormir
C'est elle qui me donne mes ailes
C'est par elle que je désire
Elle est toute ma mémoire
Tout l'amour du temps qui dort
Elle est comme toujours, là
À jamais et pour encore
Comme elle est envahissante
Et si douce mon enfance
Jamais elle ne fait silence
Quand je dors, enfin elle danse
Je la sens à chaque geste
À chacune de mes envies
Je la sens comme elle me reste
Je ne sais pas la faire taire
C'est elle qui me laisse croire
Et c'est pour elle que j'aime faire
Elle est faite de moi-même
Mais en fait je ne suis qu'elle
Elle est l'ange que je garde
Elle est si forte et si frêle
Elle connaît comme je pleure
Car mes larmes sont les siennes
Elle s'échappe dans mes sourires
Et je console ses peines
Comme elle est envahissante
Et si douce mon enfance
Jamais elle ne fait silence
Quand je dors, enfin elle danse
Comme elle est désobéissante
Mais si tendre mon enfance
Jamais elle ne fait silence
Quand je dors, enfin elle danse
Elle s'est pendue à mes basques
Toute enfouie dans mes cheveux
Et personne ne remarque
Toute enfouie dans mes cheveux
Et personne ne remarque
Elle s'enroule dans tous mes rêves
Elle me dicte mot à mot
Ce que je lui dois, sans trêve
Pour elle je cherche mes lumières
Pour qu'elle aime s'endormir
C'est elle qui me donne mes ailes
C'est par elle que je désire
Elle est toute ma mémoire
Tout l'amour du temps qui dort
Elle est comme toujours, là
À jamais et pour encore
Comme elle est envahissante
Et si douce mon enfance
Jamais elle ne fait silence
Quand je dors, enfin elle danse
Je la sens à chaque geste
À chacune de mes envies
Je la sens comme elle me reste
Je ne sais pas la faire taire
C'est elle qui me laisse croire
Et c'est pour elle que j'aime faire
Elle est faite de moi-même
Mais en fait je ne suis qu'elle
Elle est l'ange que je garde
Elle est si forte et si frêle
Elle connaît comme je pleure
Car mes larmes sont les siennes
Elle s'échappe dans mes sourires
Et je console ses peines
Comme elle est envahissante
Et si douce mon enfance
Jamais elle ne fait silence
Quand je dors, enfin elle danse
Comme elle est désobéissante
Mais si tendre mon enfance
Jamais elle ne fait silence
Quand je dors, enfin elle danse
Elle s'est pendue à mes basques
Toute enfouie dans mes cheveux
Et personne ne remarque