Je ne l'ai pas fait par hasard
À moitié ou en passant
Je me lève tôt me couche tard
Oui je travaille à plein temps
Toutes ces galeries où je rampe
Tout cet acier que je trempe
Wagons d'étain ou de plomb
Filins suspendant les ponts
Au sommet d'une grue immense
D'un bulldozer qui s'avance
Sur ce chantier terminé
Un autre va s'illuminer
Pas de place pour les décombres
La nostalgie nous encombre
Puisqu'il me faut coûte que coûte
Bâtir encore sur cette route
Mon cœur vibre et mes mains saignent
D'avoir tenu si longtemps
Tous ces outils pour que vienne
Un monde plus clair et plus grand
Les mains libres l'âme sereine
Je saurai alors sur le champ
Tuer ce cheval de peine
J'aurai enfin tout mon temps
Je ne l'ai pas fait par hasard
À moitié ou en passant
Je me lève tôt me couche tard
Oui je travaille à plein temps
À moitié ou en passant
Je me lève tôt me couche tard
Oui je travaille à plein temps
Toutes ces galeries où je rampe
Tout cet acier que je trempe
Wagons d'étain ou de plomb
Filins suspendant les ponts
Au sommet d'une grue immense
D'un bulldozer qui s'avance
Sur ce chantier terminé
Un autre va s'illuminer
Pas de place pour les décombres
La nostalgie nous encombre
Puisqu'il me faut coûte que coûte
Bâtir encore sur cette route
Mon cœur vibre et mes mains saignent
D'avoir tenu si longtemps
Tous ces outils pour que vienne
Un monde plus clair et plus grand
Les mains libres l'âme sereine
Je saurai alors sur le champ
Tuer ce cheval de peine
J'aurai enfin tout mon temps
Je ne l'ai pas fait par hasard
À moitié ou en passant
Je me lève tôt me couche tard
Oui je travaille à plein temps