Les tiges des fleurs délaissées de leurs épines,
Epinglées aux pages cornées d'un Moleskine.
Griffonner deux trois bonnes résolutions,
Mad'moiselle n'a pas le coeur à les tenir de tout'façon.
Un Polaroïd pris au piège d'un trombone,
C'est un homme sur le verso inscrit, un téléphone.
Elle en garde des regards et des gestes,
Mad'moiselle n'a plus le coeur à vous conter le reste, du reste...
Elle dévore ses toutes envies toujours,
Mais a toute la vie quand on parle d'amour.
Elle glisse quelques notes à ce sujet
Qu'elle accrochera aux mots pour les chanter.
Mad'moiselle a peur du lâcher prise.
Envoyer valser la douleur et son emprise.
Pas question de lire entre les lignes,
De ces colères auxquelles elle cède.
C'est ainsi écrit à la mine,
Dans le «Journal de Julie Z»...
Epinglées aux pages cornées d'un Moleskine.
Griffonner deux trois bonnes résolutions,
Mad'moiselle n'a pas le coeur à les tenir de tout'façon.
Un Polaroïd pris au piège d'un trombone,
C'est un homme sur le verso inscrit, un téléphone.
Elle en garde des regards et des gestes,
Mad'moiselle n'a plus le coeur à vous conter le reste, du reste...
Elle dévore ses toutes envies toujours,
Mais a toute la vie quand on parle d'amour.
Elle glisse quelques notes à ce sujet
Qu'elle accrochera aux mots pour les chanter.
Mad'moiselle a peur du lâcher prise.
Envoyer valser la douleur et son emprise.
Pas question de lire entre les lignes,
De ces colères auxquelles elle cède.
C'est ainsi écrit à la mine,
Dans le «Journal de Julie Z»...