1976 (P. Groscolas / G. Thibaut)
Pour l'amour, vous n'avez plus l'âge
Votre sang est devenu sage
Votre chair est devenue molle
Et vos seins se rapprochent du sol
Pour l'amour, vous n'avez plus l'âge
Vous ne savez plus faire naufrage
Vous n'avez plus l'eau à la bouche
Ni la tempête quand on vous touche
Arrêtez de tordre vos mains
Je ne crois pas à vos chagrins
Les crocodiles pleurent comme vous
Laissez-moi tordre votre cou
Pour l'amour vous n'avez plus l'âge
Votre corps est un marecage
Le moindre souffle y fait des plis
Il sent la vase et le moisi
Pour l'amour vous n'avez pas l'âge
Pourquoi bisser un mariage
Pourquoi vous maquiller d'ivresse
Vous étiez si belle en tendresse
Arrêtez de tordre vos mains
Je ne crois pas à vos chagrins
Les crocodiles pleurent comme vous
Laissez-moi tordre votre cou
Arrêtez de tordre vos mains
Je ne crois pas à vos chagrins
Les crocodiles
Les crocodiles pleurent comme vous
Oh ! Laissez-moi tordre votre cou
Pour l'amour, vous n'avez plus l'âge
Votre sang est devenu sage
Votre chair est devenue molle
Et vos seins se rapprochent du sol
Pour l'amour, vous n'avez plus l'âge
Vous ne savez plus faire naufrage
Vous n'avez plus l'eau à la bouche
Ni la tempête quand on vous touche
Arrêtez de tordre vos mains
Je ne crois pas à vos chagrins
Les crocodiles pleurent comme vous
Laissez-moi tordre votre cou
Pour l'amour vous n'avez plus l'âge
Votre corps est un marecage
Le moindre souffle y fait des plis
Il sent la vase et le moisi
Pour l'amour vous n'avez pas l'âge
Pourquoi bisser un mariage
Pourquoi vous maquiller d'ivresse
Vous étiez si belle en tendresse
Arrêtez de tordre vos mains
Je ne crois pas à vos chagrins
Les crocodiles pleurent comme vous
Laissez-moi tordre votre cou
Arrêtez de tordre vos mains
Je ne crois pas à vos chagrins
Les crocodiles
Les crocodiles pleurent comme vous
Oh ! Laissez-moi tordre votre cou