laisse tes regards amers
Et tes r*****s à terre
Laisse couler ton poids
Tu n'es pas fait pour la guerre
T'es pas fait pour le fer ou la pierre ou le bois
Ton existence est de chair
Et tout ce qui t'es cher ne s'achètera pas
Va où l'âme prend l'air, là où la raison se perd
Là où les bras de la mer s'enroulent et se resserrent pour écarter le froid
Là où un bord de rivière emprunte la rivière et la rend mille fois
Là où l'automne libère l'empreinte de l'hiver qui nous guettait déjà
Là où le vent accélère referme tes paupières
Voila envole toi
Et tes r*****s à terre
Laisse couler ton poids
Tu n'es pas fait pour la guerre
T'es pas fait pour le fer ou la pierre ou le bois
Ton existence est de chair
Et tout ce qui t'es cher ne s'achètera pas
Va où l'âme prend l'air, là où la raison se perd
Là où les bras de la mer s'enroulent et se resserrent pour écarter le froid
Là où un bord de rivière emprunte la rivière et la rend mille fois
Là où l'automne libère l'empreinte de l'hiver qui nous guettait déjà
Là où le vent accélère referme tes paupières
Voila envole toi