À la renverse je suis tombée,
Il aurait pu m'a**assiner,
M'étrangler dans sa fièvre, mais moi
J'accepte ses colères, pourquoi
Dans ce désert je me suis perdue
Révolution voie sans issue
Il me noie de promesses, et moi
Je me ruine dans ses caresses, pourquoi
Il est ma drogue, mon essence,
Mon tourment, mon inconscience
L'homme qui m'a dérobé l'âme
Sauvez-moi quand il me soulève,
Qu'il me tend la main
Ma voix se dérègle,
Sauvez-moi, ses yeux me désarment,
Quand il me retient,
Quand ses bras m'encerclent si fort,
Quand son corps me colle
Et ses pardons me rendent folle.
Dans l'univers de ma fierté,
Il a voulu me posséder,
Sa volonté m'achète, et moi
Je cède à ses faiblesses, pourquoi
Le labyrinthe de ses passions,
A suicidé toute ma raison,
Il a glacé mes veines, mais moi,
Je n'ose fuir sa planète, pourquoi
Il annule mon existence,
Maître de mon indulgence,
Il viole mon impuissance
Sauvez-moi quand il me soulève,
Qu'il me tend la main
Ma voix se dérègle,
Sauvez-moi, ses yeux me désarment,
Quand il me retient,
Quand ses bras m'encerclent si fort,
Quand son corps me colle
Et ses pardons me rendent folle.
Il aurait pu m'a**assiner,
M'étrangler dans sa fièvre, mais moi
J'accepte ses colères, pourquoi
Dans ce désert je me suis perdue
Révolution voie sans issue
Il me noie de promesses, et moi
Je me ruine dans ses caresses, pourquoi
Il est ma drogue, mon essence,
Mon tourment, mon inconscience
L'homme qui m'a dérobé l'âme
Sauvez-moi quand il me soulève,
Qu'il me tend la main
Ma voix se dérègle,
Sauvez-moi, ses yeux me désarment,
Quand il me retient,
Quand ses bras m'encerclent si fort,
Quand son corps me colle
Et ses pardons me rendent folle.
Dans l'univers de ma fierté,
Il a voulu me posséder,
Sa volonté m'achète, et moi
Je cède à ses faiblesses, pourquoi
Le labyrinthe de ses passions,
A suicidé toute ma raison,
Il a glacé mes veines, mais moi,
Je n'ose fuir sa planète, pourquoi
Il annule mon existence,
Maître de mon indulgence,
Il viole mon impuissance
Sauvez-moi quand il me soulève,
Qu'il me tend la main
Ma voix se dérègle,
Sauvez-moi, ses yeux me désarment,
Quand il me retient,
Quand ses bras m'encerclent si fort,
Quand son corps me colle
Et ses pardons me rendent folle.