Je n'ai pas eu le temps de faire le tour de sa terre,
Avec lui s'est échappée même la lumière,
Inconsciemment je l'appelle du bout de mes lèvres,
Comme un enfant recherche la force de son père.
Dire que pour lui j'étais devenue infaillible,
Mon idéal, lui toute ma raison de vivre ;
Ideali, tu m'as trahie.
Le temps a voulu rire de moi de ma fièvre,
L'orgueil s'est emparé de toutes mes colères,
J'ai fait semblant, j'ai maquillé mes angoisses,
Pour m'isoler parmi des gens de sa race.
Qu'est-il devenu, je n'en sais rien et je m'en vante,
Je me réfugie loin de ses yeux qui me hantent ;
Ideali, j'ai rien compris.
Ideali Ideali, quand le soir se rebranche,
Je m'enfonce je suis souffrante.
Quand sa violence jouait sur moi l'innocence,
Je me protégeais par cet amour si intense,
Je le comprenais, je lui suis restée fidèle,
Même à présent je voudrais la clé de cet enfer.
Je le revois glisser à travers mon ombre,
Je le crie si fort, mais toujours pas de réponse,
Ideali, tu m'as trahie.
Avec lui s'est échappée même la lumière,
Inconsciemment je l'appelle du bout de mes lèvres,
Comme un enfant recherche la force de son père.
Dire que pour lui j'étais devenue infaillible,
Mon idéal, lui toute ma raison de vivre ;
Ideali, tu m'as trahie.
Le temps a voulu rire de moi de ma fièvre,
L'orgueil s'est emparé de toutes mes colères,
J'ai fait semblant, j'ai maquillé mes angoisses,
Pour m'isoler parmi des gens de sa race.
Qu'est-il devenu, je n'en sais rien et je m'en vante,
Je me réfugie loin de ses yeux qui me hantent ;
Ideali, j'ai rien compris.
Ideali Ideali, quand le soir se rebranche,
Je m'enfonce je suis souffrante.
Quand sa violence jouait sur moi l'innocence,
Je me protégeais par cet amour si intense,
Je le comprenais, je lui suis restée fidèle,
Même à présent je voudrais la clé de cet enfer.
Je le revois glisser à travers mon ombre,
Je le crie si fort, mais toujours pas de réponse,
Ideali, tu m'as trahie.