Vous avez nom que je voudrais pour ma maîtresse
Vous avez nom que les amours devraient connaître
Mais elles vivront ce que vivent les roses
L'espace d'un vous savez quoi
Ne s'appelleront jamais immortelles
Ne seront jamais qu'un feu de joie.
Mais vous ne saurez jamais le soir d'une vieillesse
Oh! vieil amour sur vieil amour, las, on se berce
Le cœur usé mais plus tendre qu'avant
Fragile à l'œil, sensible au vent
Sachant la vie sur son dernier printemps
Pauvres immortelles.
Et le plus se tresse ma chanson, le plus je pense
Que ce qui meurt, a plus de poids et d'importance
J'amoure la vie ma mie à ma façon
J'aime l'amour, j'aime le printemps
Tout, comme je voudrais ce soir que ma chanson
S'achève et meurt tout doucement.
Mais vous avez nom ... que je voudrais ... pour ma maîtresse ...
Vous avez nom que les amours devraient connaître
Mais elles vivront ce que vivent les roses
L'espace d'un vous savez quoi
Ne s'appelleront jamais immortelles
Ne seront jamais qu'un feu de joie.
Mais vous ne saurez jamais le soir d'une vieillesse
Oh! vieil amour sur vieil amour, las, on se berce
Le cœur usé mais plus tendre qu'avant
Fragile à l'œil, sensible au vent
Sachant la vie sur son dernier printemps
Pauvres immortelles.
Et le plus se tresse ma chanson, le plus je pense
Que ce qui meurt, a plus de poids et d'importance
J'amoure la vie ma mie à ma façon
J'aime l'amour, j'aime le printemps
Tout, comme je voudrais ce soir que ma chanson
S'achève et meurt tout doucement.
Mais vous avez nom ... que je voudrais ... pour ma maîtresse ...