Fait gris sur la vie,
Il manque un ami,
La dame blanche l'attendait.
Fait lourd sur la vie
Quand on est saisi
Par l'avalanche des regrets.
On essaie d'inventer
Encore un peu de sa présence,
On essaie d'accepter
Toute les raisons de son absence.
On dit qu'il a rejoint les oies sauvages
Qui sont là-haut dans les nuages,
Rassemblées sur nos destinées.
Regarde, il nous a laissé ses bagages,
Il est parti pendant l'orage,
Personne ne l'a vu s'éloigner.
A chacun sa vie,
On l'a souvent dit
Sans jamais vraiment le penser.
Il pleut de l'ennui
Sur les vieux treillis
Au souvenir du temps passé.
Les bars de Kinshasa
Résonnent encore de ses rengaines.
Le ciel de N'Djamena
Est un jardin en son domaine.
Et quand, on voit passer les oies sauvages,
En escadrille dans les nuages,
On a parfois de drôles d'idées.
Ecoute, dans le sifflement des mirages,
On croirait qu'elles lancent un message,
Sûr que c'est lui qui l'a dicté.
Apportez-nous des verres,
On va trinquer à nos galères.
Allumez des lumières
A la mémoire de notre frère
Un jour, on rejoindra les oies sauvages,
Et ceux qui sont morts avant l'âge,
Qui nous attendent à leurs côtés.
Ici on est simplement de passage,
En transit pour le long voyage,
Celui dont on ne revient jamais...
Il manque un ami,
La dame blanche l'attendait.
Fait lourd sur la vie
Quand on est saisi
Par l'avalanche des regrets.
On essaie d'inventer
Encore un peu de sa présence,
On essaie d'accepter
Toute les raisons de son absence.
On dit qu'il a rejoint les oies sauvages
Qui sont là-haut dans les nuages,
Rassemblées sur nos destinées.
Regarde, il nous a laissé ses bagages,
Il est parti pendant l'orage,
Personne ne l'a vu s'éloigner.
A chacun sa vie,
On l'a souvent dit
Sans jamais vraiment le penser.
Il pleut de l'ennui
Sur les vieux treillis
Au souvenir du temps passé.
Les bars de Kinshasa
Résonnent encore de ses rengaines.
Le ciel de N'Djamena
Est un jardin en son domaine.
Et quand, on voit passer les oies sauvages,
En escadrille dans les nuages,
On a parfois de drôles d'idées.
Ecoute, dans le sifflement des mirages,
On croirait qu'elles lancent un message,
Sûr que c'est lui qui l'a dicté.
Apportez-nous des verres,
On va trinquer à nos galères.
Allumez des lumières
A la mémoire de notre frère
Un jour, on rejoindra les oies sauvages,
Et ceux qui sont morts avant l'âge,
Qui nous attendent à leurs côtés.
Ici on est simplement de passage,
En transit pour le long voyage,
Celui dont on ne revient jamais...