Le vent de Fœhn et de Lombarde
Viendra déposer
Je le crains
Son blanc manteau
Mon camarade
Sur l´âme folle qui nous tient
Le vent d´Ecir sur la Limagne
A abattu tous les hérons
Partout on ne jure que mitraille
Que vengeance
Que punition
On jure par les saillies du diable
Qu´un mal qui épargne les c***ns
Tuerait les amants en cascade
Tous les gens jeunes
Les gens sains
Que dans les ronces vers la Sagne
Où se retirent les hérons
En larmes bleues
D´un bleu final
Savent mourir
Les compagnons
Sait-on la Dame qui nous peine
Eprouve-t-elle un grand chagrin
Son triste cœur
Ce bois de hêtre
Nous ferait donc croire Au Malin
Si je t´écris mon camarade
C´est pour parler de la saison
Si je t´écris
C´est que le vent de Fœhn et de Lombarde
A abattu
Tous les hérons.
Viendra déposer
Je le crains
Son blanc manteau
Mon camarade
Sur l´âme folle qui nous tient
Le vent d´Ecir sur la Limagne
A abattu tous les hérons
Partout on ne jure que mitraille
Que vengeance
Que punition
On jure par les saillies du diable
Qu´un mal qui épargne les c***ns
Tuerait les amants en cascade
Tous les gens jeunes
Les gens sains
Que dans les ronces vers la Sagne
Où se retirent les hérons
En larmes bleues
D´un bleu final
Savent mourir
Les compagnons
Sait-on la Dame qui nous peine
Eprouve-t-elle un grand chagrin
Son triste cœur
Ce bois de hêtre
Nous ferait donc croire Au Malin
Si je t´écris mon camarade
C´est pour parler de la saison
Si je t´écris
C´est que le vent de Fœhn et de Lombarde
A abattu
Tous les hérons.