Quand le passé nous saisit
Dans ces lieux de vague à l'âme
Sous les grands arbres de l'ennui
Une lubie nous enflamme
Se tendent voiles du pêcheur
Dans nos prunelles azurées
Nom de dieu rev'là, rev'là l'heure
De l'emberlificoté
On lit dans le corps des volailles
Dans un hachis parmentier
Au moment le plus select on
On mange le mou du chat
Voyant tout ce qui nous distingue
Distingue des autres oiseaux
Sous les ors de ce bastringue
Oh ba lo ba lo ba lo
Un haut le coeur pour le gazoil
Dans ce siècle enténébré
Au fond de la boue impalpable
On voyage autour d'un chapeau
Je t'aime, est-ce que ça te regarde
Je vois les choses de mon lit
Mon ruisseau tarit l'océan
Bah, tant pis, tant pis, tant pis
Aussi bleue qu'est bleue cette mer
Où la mort nous viendra
J'entends déjà morne langueur
Dans toute excitante voix
Au train où va votre folie
Faudra-t-il vous piquer
Autant c'était joli joli
Ce ronron des attardés
Car dès lors comme on chante
Dans la plaine tous les ans
Le moujik a eu son heure mais
Mais a fait peur aux enfants
Fraiseuse, broyeuse, aplanisseuse
Au gosier de l'animal
Pense à ces milliards d'exemplaires
Et touche plus au mou du chat
Dans mon esprit chants délirants
Accourent pour me soutenir
Au cadavre rose et charmant
Je cours chercher de l'eau
Tatiana reprends des couleurs
Sous ses fourrures ses colliers
Et me v'là dans toutes ces vapeurs
Tout emberlificoté
Pris dans cette humeur vagabonde
Qui me vient d'outre-océan
Aux premiers frissons de l'homme
J'imite le cri du paon
Mais ouf, une odeur de narcisse
Me reprend l'âme et le corps
A la mesure de l'envie
Ah ben là, d'accord, d'accord
Dans ces lieux de vague à l'âme
Sous les grands arbres de l'ennui
Une lubie nous enflamme
Se tendent voiles du pêcheur
Dans nos prunelles azurées
Nom de dieu rev'là, rev'là l'heure
De l'emberlificoté
On lit dans le corps des volailles
Dans un hachis parmentier
Au moment le plus select on
On mange le mou du chat
Voyant tout ce qui nous distingue
Distingue des autres oiseaux
Sous les ors de ce bastringue
Oh ba lo ba lo ba lo
Un haut le coeur pour le gazoil
Dans ce siècle enténébré
Au fond de la boue impalpable
On voyage autour d'un chapeau
Je t'aime, est-ce que ça te regarde
Je vois les choses de mon lit
Mon ruisseau tarit l'océan
Bah, tant pis, tant pis, tant pis
Aussi bleue qu'est bleue cette mer
Où la mort nous viendra
J'entends déjà morne langueur
Dans toute excitante voix
Au train où va votre folie
Faudra-t-il vous piquer
Autant c'était joli joli
Ce ronron des attardés
Car dès lors comme on chante
Dans la plaine tous les ans
Le moujik a eu son heure mais
Mais a fait peur aux enfants
Fraiseuse, broyeuse, aplanisseuse
Au gosier de l'animal
Pense à ces milliards d'exemplaires
Et touche plus au mou du chat
Dans mon esprit chants délirants
Accourent pour me soutenir
Au cadavre rose et charmant
Je cours chercher de l'eau
Tatiana reprends des couleurs
Sous ses fourrures ses colliers
Et me v'là dans toutes ces vapeurs
Tout emberlificoté
Pris dans cette humeur vagabonde
Qui me vient d'outre-océan
Aux premiers frissons de l'homme
J'imite le cri du paon
Mais ouf, une odeur de narcisse
Me reprend l'âme et le corps
A la mesure de l'envie
Ah ben là, d'accord, d'accord