Em C
Enfants, il était une fois
Em
Une fée appelée Urgande,
C
Grande à peine de quatre doigts,
Em
Mais de bonté vraiment bien grande.
C
De sa baguette un ou deux coups
Em
Donnaient félicité parfaite.
Am
Ah ! Bonne fée, enseignez-nous
Em
Où vous cachez votre baguette !
C
Dans une conque de saphir,
Em
De huit papillons attelée,
C
Elle passait comme un zéphyr,
Em
Et la terre était consolée.
C
Les raisins mûrissaient plus doux ;
Em
Chaque moisson était complète.
Am
Ah ! Bonne fée, enseignez-nous
Em
Où vous cachez votre baguette !
Em C etc...
C'était la marraine d'un roi
Dont elle créait les ministres ;
Braves gens, soumis à la loi,
Qui laissaient voir dans leurs registres.
Du bercail ils chassaient les loups
Sans abuser de la houlette.
Ah ! Bonne fée, enseignez-nous
Où vous cachez votre baguette !
Les juges, sous ce roi puissant,
Étaient l'organe de la fée ;
Et par eux jamais l'innocent
Ne voyait sa plainte étouffée.
Jamais pour l'erreur à genoux
La clémence n'était muette.
Ah ! Bonne fée, enseignez-nous
Où vous cachez votre baguette !
Pour que son filleul fût béni,
Elle avait touché sa couronne ;
Il voyait tout son peuple uni,
Prêt à mourir pour sa personne.
S'il venait des voisins jaloux,
On les forçait à la retraite.
Ah ! Bonne fée, enseignez-nous
Où vous cachez votre baguette !
Dans une conque de saphir,
De huit papillons attelée,
Elle passait comme un zéphyr,
Et la terre était consolée.
Les raisins mûrissaient plus doux ;
Chaque moisson était complète.
Ah ! Bonne fée, enseignez-nous
Où vous cachez votre baguette !
Enfants, il était une fois
Em
Une fée appelée Urgande,
C
Grande à peine de quatre doigts,
Em
Mais de bonté vraiment bien grande.
C
De sa baguette un ou deux coups
Em
Donnaient félicité parfaite.
Am
Ah ! Bonne fée, enseignez-nous
Em
Où vous cachez votre baguette !
C
Dans une conque de saphir,
Em
De huit papillons attelée,
C
Elle passait comme un zéphyr,
Em
Et la terre était consolée.
C
Les raisins mûrissaient plus doux ;
Em
Chaque moisson était complète.
Am
Ah ! Bonne fée, enseignez-nous
Em
Où vous cachez votre baguette !
Em C etc...
C'était la marraine d'un roi
Dont elle créait les ministres ;
Braves gens, soumis à la loi,
Qui laissaient voir dans leurs registres.
Du bercail ils chassaient les loups
Sans abuser de la houlette.
Ah ! Bonne fée, enseignez-nous
Où vous cachez votre baguette !
Les juges, sous ce roi puissant,
Étaient l'organe de la fée ;
Et par eux jamais l'innocent
Ne voyait sa plainte étouffée.
Jamais pour l'erreur à genoux
La clémence n'était muette.
Ah ! Bonne fée, enseignez-nous
Où vous cachez votre baguette !
Pour que son filleul fût béni,
Elle avait touché sa couronne ;
Il voyait tout son peuple uni,
Prêt à mourir pour sa personne.
S'il venait des voisins jaloux,
On les forçait à la retraite.
Ah ! Bonne fée, enseignez-nous
Où vous cachez votre baguette !
Dans une conque de saphir,
De huit papillons attelée,
Elle passait comme un zéphyr,
Et la terre était consolée.
Les raisins mûrissaient plus doux ;
Chaque moisson était complète.
Ah ! Bonne fée, enseignez-nous
Où vous cachez votre baguette !