Touche à mon épaule
Il y a les dragons du silence
Ceux qui trainent aux peaux
Des délaissés et des souffrances
Touche à l'autre épaule
J'ai fais tatouer son nom pour la chance
Mais je n'ai fait
Pour que ça reste vrai
J'ai toucher des lunes
Sans lui en donner une
J'ai franchi des ponts
Sans décrire l'horizon
Y'a des milliards d'années lumières
Entre son ciel et ma terre
Y'a des millions
De directions qui m'éloignent...
Tourne une autre page
Y'a des mots que j'ai gardés en cage
Depuis les colères et toute
La brume des vieux présages
Touche à la douleur,
Qu'on vit quand on fait face au malheur
C'est visible du cou jusqu'au coeur
Chercher d'autres lunes
Pour lui en donner une
Franchir d'autres ponts pour décrire l'horizon
Y'a des milliards d'années lumières
Qui attendent entre son ciel et ma terre
Y'a des millions de directions qui m'emmènent
Là où les gestes d'amour
Ne sont pas malentendus
Où la beauté du discours
Fait un enfant de plus
J'aurais pu prendre son visage
Et le poser sur le mien
J'aurais pu...c'était l'orage...
Et ce fut le dernier matin.
Il y a les dragons du silence
Ceux qui trainent aux peaux
Des délaissés et des souffrances
Touche à l'autre épaule
J'ai fais tatouer son nom pour la chance
Mais je n'ai fait
Pour que ça reste vrai
J'ai toucher des lunes
Sans lui en donner une
J'ai franchi des ponts
Sans décrire l'horizon
Y'a des milliards d'années lumières
Entre son ciel et ma terre
Y'a des millions
De directions qui m'éloignent...
Tourne une autre page
Y'a des mots que j'ai gardés en cage
Depuis les colères et toute
La brume des vieux présages
Touche à la douleur,
Qu'on vit quand on fait face au malheur
C'est visible du cou jusqu'au coeur
Chercher d'autres lunes
Pour lui en donner une
Franchir d'autres ponts pour décrire l'horizon
Y'a des milliards d'années lumières
Qui attendent entre son ciel et ma terre
Y'a des millions de directions qui m'emmènent
Là où les gestes d'amour
Ne sont pas malentendus
Où la beauté du discours
Fait un enfant de plus
J'aurais pu prendre son visage
Et le poser sur le mien
J'aurais pu...c'était l'orage...
Et ce fut le dernier matin.