Regarde-le mon monde, son carnaval d'automates
Ca bouchonne dans la grande foire aux égouts
Regarde-le mon monde, l'oppression grise, écarlate
Ronge l'âme verte des badauds
Elles étaient sombres, tes nuits sans attaches
Ton coeur sans encre et l'orgueil qui t'arrachent
Regarde-le mon monde, il a le virus des affaires
On voit les couches de sel qu'il déverse sur nos cicatrices
Regarde-le mon monde dis-moi es-tu toujours en colère ?
Dans ta dernière révolte, tu nous quittais le jour du Christ
Elles étaient sombres, tes nuits sans attaches
Ton coeur sans encre et l'orgueil qui t'arrachent
Regarde-le mon monde qui décolore les nuages
Oppresse les arbres nus dans des souterrains
Regarde-le ce monde et l'orgie, tout c'qu'on gâche
Tu décollais sur l'opulence vomie des magasins
Elles étaient sombres, tes nuits sans attaches
Ton coeur sans encre et l'orgueil qui t'arrachent
Regarde-le mon monde
Regarde-le
Et dis-moi,
Est-ce qu'on est mieux là-haut?
Hein?
Ca bouchonne dans la grande foire aux égouts
Regarde-le mon monde, l'oppression grise, écarlate
Ronge l'âme verte des badauds
Elles étaient sombres, tes nuits sans attaches
Ton coeur sans encre et l'orgueil qui t'arrachent
Regarde-le mon monde, il a le virus des affaires
On voit les couches de sel qu'il déverse sur nos cicatrices
Regarde-le mon monde dis-moi es-tu toujours en colère ?
Dans ta dernière révolte, tu nous quittais le jour du Christ
Elles étaient sombres, tes nuits sans attaches
Ton coeur sans encre et l'orgueil qui t'arrachent
Regarde-le mon monde qui décolore les nuages
Oppresse les arbres nus dans des souterrains
Regarde-le ce monde et l'orgie, tout c'qu'on gâche
Tu décollais sur l'opulence vomie des magasins
Elles étaient sombres, tes nuits sans attaches
Ton coeur sans encre et l'orgueil qui t'arrachent
Regarde-le mon monde
Regarde-le
Et dis-moi,
Est-ce qu'on est mieux là-haut?
Hein?