Y'a eu un tremblement de terre,
Un champignon, la guerre,
Un éclair blanc,
Et je n'sais plus pourquoi,
Je me retrouve sur cette route,
Les cheveux balayés, par le vent,
A siffloter comme un enfant,
Qui vient d'ailleurs,
Qui n'va nulle part,
Et qui attend,à tout hasard,
N'importe qui, n'importe quoi
Dieu seul sait qui, le diable sait quoi,
Mais ils ne l'diront pas..
Pourtant si rien n'arrive,
Et si personne ne vient,
Va bien falloir continuer son chemin sans l'aide de rien, ni de personne.
Car baby, je ne suis qu'une de six milliards de bouches,
Ouverte à en crever,
Une de six milliards de bouches,
Ouverte à en crever, sur le désespoir, la peur du noir,
Je peux te saisir, et t'anéantir,
Au coin d'un boulevard, déserteur, trop tard,
Où tu sais même pas c'qui peut t'tomber sur le coin d'la gueule,
Un car de flics, un coup de rasoir, "Schlak", et
Où le clin d'oeil d'une pute,
Qui remonte son trottoir,
Et raler, seul, ce soir,
Ouais, tout seul,
Et c'est pas parc'que tu vas me refiler 5 minutes de ton c**,
Contre un verre d'alcool, un paquet d'dollars et quelques flippers,
Que tu m'f'ras oublier,
Que je n'suis qu'une de six milliards de bouches,
Ouverte à en crever,
Une de six milliards de bouches, baby,
Ouverte à en crever, sur le désespoir, le désespoir, la peur du noir..
La liberté, de choisir, l'étendard,
De tes futures désillusions,
Le temps de crever avec,
Et de te sentir vraiment tout con,
Devant, le regard innocent,
D'un enfant, qui se réveille,
Et qui dans un sourire, te fait, l'amour,
L'amour, sans même savoir, ce que c'est,
(bis) choeurs
(ter)
Un champignon, la guerre,
Un éclair blanc,
Et je n'sais plus pourquoi,
Je me retrouve sur cette route,
Les cheveux balayés, par le vent,
A siffloter comme un enfant,
Qui vient d'ailleurs,
Qui n'va nulle part,
Et qui attend,à tout hasard,
N'importe qui, n'importe quoi
Dieu seul sait qui, le diable sait quoi,
Mais ils ne l'diront pas..
Pourtant si rien n'arrive,
Et si personne ne vient,
Va bien falloir continuer son chemin sans l'aide de rien, ni de personne.
Car baby, je ne suis qu'une de six milliards de bouches,
Ouverte à en crever,
Une de six milliards de bouches,
Ouverte à en crever, sur le désespoir, la peur du noir,
Je peux te saisir, et t'anéantir,
Au coin d'un boulevard, déserteur, trop tard,
Où tu sais même pas c'qui peut t'tomber sur le coin d'la gueule,
Un car de flics, un coup de rasoir, "Schlak", et
Où le clin d'oeil d'une pute,
Qui remonte son trottoir,
Et raler, seul, ce soir,
Ouais, tout seul,
Et c'est pas parc'que tu vas me refiler 5 minutes de ton c**,
Contre un verre d'alcool, un paquet d'dollars et quelques flippers,
Que tu m'f'ras oublier,
Que je n'suis qu'une de six milliards de bouches,
Ouverte à en crever,
Une de six milliards de bouches, baby,
Ouverte à en crever, sur le désespoir, le désespoir, la peur du noir..
La liberté, de choisir, l'étendard,
De tes futures désillusions,
Le temps de crever avec,
Et de te sentir vraiment tout con,
Devant, le regard innocent,
D'un enfant, qui se réveille,
Et qui dans un sourire, te fait, l'amour,
L'amour, sans même savoir, ce que c'est,
(bis) choeurs
(ter)