Tu es la beauté qui s'ignore
Oubliée dans la nuit des temps,
Au fond de son île au trésor
Et qui attend le conquérant,
Qui te délivrera du sort
Où t'ont jetée les impuissants.
Tu es la beauté qu'on agresse
Quand elle se montre au grand jour
En abandonnant ses richesses aux déshérités de l'amour,
Sans jamais attendre en retour le semblant d'une caresse.
Tu es la beautée insoumise, rebelle comme un cri d'enfant
Qui brandit sa rage de vivre face à la masse des morts vivants,
Sous la violence de leur bêtise.
Tu es la beauté flamboyante qui rougit le ciel au matin
comme le sang sur la chemise du bourreau ou de l'a**assin.
Tu es la beauté que j'adore
Car elle m'a appris à aimer
Et à comprendre la laideur,
Qui est le miroir
Où je peux contempler,
Ma VE RI TE !
Oubliée dans la nuit des temps,
Au fond de son île au trésor
Et qui attend le conquérant,
Qui te délivrera du sort
Où t'ont jetée les impuissants.
Tu es la beauté qu'on agresse
Quand elle se montre au grand jour
En abandonnant ses richesses aux déshérités de l'amour,
Sans jamais attendre en retour le semblant d'une caresse.
Tu es la beautée insoumise, rebelle comme un cri d'enfant
Qui brandit sa rage de vivre face à la masse des morts vivants,
Sous la violence de leur bêtise.
Tu es la beauté flamboyante qui rougit le ciel au matin
comme le sang sur la chemise du bourreau ou de l'a**assin.
Tu es la beauté que j'adore
Car elle m'a appris à aimer
Et à comprendre la laideur,
Qui est le miroir
Où je peux contempler,
Ma VE RI TE !