Refrain
Je dois faire du cash boy, je dois faire du cash il le faut,
sache qu'isi rien n'est gratuit et qu'on te flingue cash
pour la naie-mo, repose en paix ceux qui au cours d'une transaction bidon,
bluffent le boss qui soudain les descends. (x3)
Sans sentiments, avec précision maintenant précisons,
ta vie ne fais pas le poids face à l'argent;
gentiment je t'axplique explicite sur le beat,
que dans le bizness illicite on ne plaisante pas avec le fric,
les flics roulent, les dealers coulent ou se la coulent douce,
au nom de chacun pour soi, Lucifer pour tous, pour le floose,
six millions de raisons pour tuer, choisis en une,
tu vends ton âme au "shâtan" et puis opte pour la tune
le flingue parle plus vite que les mots,
s'il s'agit de "zeillo", paye comptant puis protège ta peau,
en fait refuse net de t'acquitter de tes dettes,
puis soudain regrette quand sur ta tête on braque le 9 millimètres en direct,
de nos jours c'est comme ça que ça se passe,
tu veux la liasse rapace, mieux vaut être coriace, ou malin,
moi j'évite le mal, puis le malin, prends les choses en main
mais sais qu'on a jamais rien sans rien,
nouvelle année, nouvelle ère, nouvelle réalité, le fric contrôle le monde
et dans le ghetto beaucoup de salaud sont armés,
frère, adopte une nouvelle attitude et j'en suis,
je veux du fric, j'ai des tripes et aussi beaucoup d'esprit,
le manque d'argent m'étouffe, j'ai un pied prés du gouffre,
si tu me pousses on saute tous car dans ma tête, je suis devenu ouf,
je fais des choses dont je me serais jamais cru capable,
à croire que récemment j'aurais conclu un pacte avec le diable,
j'arpente les rues du quartier,
les plus jeunes se mettent à dealer,
plus ils empochent dans leurs poches,
et plus ils gagnet le respect,
franchement obliger de bouger, lorqsue le sytème te marche dessus,
je dois faire du cash sinon je suis perdu...
Refrain
Je pars en c******* et c'est chaud,
ma signature dans le bizness n'est qu'illusion,
j'habite toujours le mêm ghetto,
j'ai rarement dix feuilles dans mon jean,
et pour sortir avec mes potes,
je dois agir de façon pas trés clean,
arrête donc de galérer, t'entends souvent autour de toi,
ici rien n'est gratuit, et ton pouvoir d'achat et si bas,
que t'empruntes et t'endettes chez certains enfoirés,
t'as le dos tourné, ces mêmes c***ns commencent à parler,
et il y a ceux qui prétendent être tes potes,
mais à la première embrouille le stoppent,
reproches sur reproches,
si jamais tu ne donnes pas avec le coeur ne donnes rien,
mais surtout ne cache pas que tu roules sur l'or,
pour l'heure ne rien devoir à personne,
je voudrais garder la tête haute,
porter les mêmes Weston qu'Al Capone,
qui m'a parlé d'aller travailler, tafer au lycée,
être mal payé, que le système aille se faire enculer,
ma pauvre mère a ramé toute sa vie,
vit le visage balafré de blessures marquée du désir du pays,
je jure que si la mort ne nous prends pas,
je t'enverrais au de-blé faire ses beaux jours dans une villa,
y'a quoi ?? si la musique ne paye pas,
l'illicite, oui, si on ne naôt pas tous égaux alors je vole,
ce que je n'ai pas eu et m'enrichit, c'est ainsi,
on est juste une bande d'enfoirés,
qui par instinct de survie veulent s'échapper du ghetto français
blessés, si je monte un jour et tu espères me descendre,
amène ton gang, amène ta clique, sois armé
mais n'hésite pas une seule seconde,
je jures qu'on ne m'enlèves pas ce que je mérite
et pour dire la vérité pour ce qui me revient je suis prêt à caner ...
Refrain
Je dois faire du cash boy, je dois faire du cash il le faut,
sache qu'isi rien n'est gratuit et qu'on te flingue cash
pour la naie-mo, repose en paix ceux qui au cours d'une transaction bidon,
bluffent le boss qui soudain les descends. (x3)
Sans sentiments, avec précision maintenant précisons,
ta vie ne fais pas le poids face à l'argent;
gentiment je t'axplique explicite sur le beat,
que dans le bizness illicite on ne plaisante pas avec le fric,
les flics roulent, les dealers coulent ou se la coulent douce,
au nom de chacun pour soi, Lucifer pour tous, pour le floose,
six millions de raisons pour tuer, choisis en une,
tu vends ton âme au "shâtan" et puis opte pour la tune
le flingue parle plus vite que les mots,
s'il s'agit de "zeillo", paye comptant puis protège ta peau,
en fait refuse net de t'acquitter de tes dettes,
puis soudain regrette quand sur ta tête on braque le 9 millimètres en direct,
de nos jours c'est comme ça que ça se passe,
tu veux la liasse rapace, mieux vaut être coriace, ou malin,
moi j'évite le mal, puis le malin, prends les choses en main
mais sais qu'on a jamais rien sans rien,
nouvelle année, nouvelle ère, nouvelle réalité, le fric contrôle le monde
et dans le ghetto beaucoup de salaud sont armés,
frère, adopte une nouvelle attitude et j'en suis,
je veux du fric, j'ai des tripes et aussi beaucoup d'esprit,
le manque d'argent m'étouffe, j'ai un pied prés du gouffre,
si tu me pousses on saute tous car dans ma tête, je suis devenu ouf,
je fais des choses dont je me serais jamais cru capable,
à croire que récemment j'aurais conclu un pacte avec le diable,
j'arpente les rues du quartier,
les plus jeunes se mettent à dealer,
plus ils empochent dans leurs poches,
et plus ils gagnet le respect,
franchement obliger de bouger, lorqsue le sytème te marche dessus,
je dois faire du cash sinon je suis perdu...
Refrain
Je pars en c******* et c'est chaud,
ma signature dans le bizness n'est qu'illusion,
j'habite toujours le mêm ghetto,
j'ai rarement dix feuilles dans mon jean,
et pour sortir avec mes potes,
je dois agir de façon pas trés clean,
arrête donc de galérer, t'entends souvent autour de toi,
ici rien n'est gratuit, et ton pouvoir d'achat et si bas,
que t'empruntes et t'endettes chez certains enfoirés,
t'as le dos tourné, ces mêmes c***ns commencent à parler,
et il y a ceux qui prétendent être tes potes,
mais à la première embrouille le stoppent,
reproches sur reproches,
si jamais tu ne donnes pas avec le coeur ne donnes rien,
mais surtout ne cache pas que tu roules sur l'or,
pour l'heure ne rien devoir à personne,
je voudrais garder la tête haute,
porter les mêmes Weston qu'Al Capone,
qui m'a parlé d'aller travailler, tafer au lycée,
être mal payé, que le système aille se faire enculer,
ma pauvre mère a ramé toute sa vie,
vit le visage balafré de blessures marquée du désir du pays,
je jure que si la mort ne nous prends pas,
je t'enverrais au de-blé faire ses beaux jours dans une villa,
y'a quoi ?? si la musique ne paye pas,
l'illicite, oui, si on ne naôt pas tous égaux alors je vole,
ce que je n'ai pas eu et m'enrichit, c'est ainsi,
on est juste une bande d'enfoirés,
qui par instinct de survie veulent s'échapper du ghetto français
blessés, si je monte un jour et tu espères me descendre,
amène ton gang, amène ta clique, sois armé
mais n'hésite pas une seule seconde,
je jures qu'on ne m'enlèves pas ce que je mérite
et pour dire la vérité pour ce qui me revient je suis prêt à caner ...
Refrain