a**is comme un lépreux devant mon brasero,
Frileux sous le blizzard soufflant son lamento,
O my sweet honey love !
J'écrivais le chorus d'un concerto lubrique
Sur le chargeur glacé de mon automatique,
O my sweet honey love !
Quand je t'ai vue marcher le long du taxiway
Ou mon vaisseau-cargo déchargeait en secret,
O my sweet honey love !
Mes carrousels de monstres aux yeux de chrysolite
Et les démons transfuges de ma zone interdite,
O my sweet honey love !
Pas b'soin de télescope pour suivre ta beauté
Quand tu viens t'acharner à me faire espérer
Mais j'suis fait d'une matière débile indélébile
Et je n'sais plus quoi faire pour me rendre inutile,
Et je n'sais plus quoi faire pour te décevoir.
Tu traverses les ruines de mes cités-fossiles
Dans la phosphorescence de mes visions fébriles,
O my sweet honey love !
Parmi les papiers gras et les caisses éventrées
Qui jonchent le parking de mon cerveau brûlé,
O my sweet honey love !
Et tu poses des oranges dans la cendre mouillée
De mon cachot désert aux barreaux calcinés,
O my sweet honey love !
Et d'un éclat de rire, tu gommes les pierres tombales
Des quartiers délabrés de ma radio-mentale,
O my sweet honey love !
Pas b'soin de télescope pour suivre ta beauté
Quand tu viens t'acharner à me faire espérer
Mais j'suis fait d'une matière débile indélébile
Et je n'sais plus quoi faire pour me rendre inutile,
Et je n'sais plus quoi faire pour te décevoir.
Frileux sous le blizzard soufflant son lamento,
O my sweet honey love !
J'écrivais le chorus d'un concerto lubrique
Sur le chargeur glacé de mon automatique,
O my sweet honey love !
Quand je t'ai vue marcher le long du taxiway
Ou mon vaisseau-cargo déchargeait en secret,
O my sweet honey love !
Mes carrousels de monstres aux yeux de chrysolite
Et les démons transfuges de ma zone interdite,
O my sweet honey love !
Pas b'soin de télescope pour suivre ta beauté
Quand tu viens t'acharner à me faire espérer
Mais j'suis fait d'une matière débile indélébile
Et je n'sais plus quoi faire pour me rendre inutile,
Et je n'sais plus quoi faire pour te décevoir.
Tu traverses les ruines de mes cités-fossiles
Dans la phosphorescence de mes visions fébriles,
O my sweet honey love !
Parmi les papiers gras et les caisses éventrées
Qui jonchent le parking de mon cerveau brûlé,
O my sweet honey love !
Et tu poses des oranges dans la cendre mouillée
De mon cachot désert aux barreaux calcinés,
O my sweet honey love !
Et d'un éclat de rire, tu gommes les pierres tombales
Des quartiers délabrés de ma radio-mentale,
O my sweet honey love !
Pas b'soin de télescope pour suivre ta beauté
Quand tu viens t'acharner à me faire espérer
Mais j'suis fait d'une matière débile indélébile
Et je n'sais plus quoi faire pour me rendre inutile,
Et je n'sais plus quoi faire pour te décevoir.