Paroles :
Au bord de l'envie, tu ressens
Le doute, l'espoir, à chaque instant
Perdu, au fond, de tes pensées
Tu va, finir, par te trouver
Le reflet de la glace devient flou
La part du traque te pend au coup
Et la douceur de l'esprit, te donne le souffle de vie
Tu prends tout cet amour qui te porte
Tes doigts se croisent pour faire en sorte
Que tes faiblesses deviennent poussières
Que tu oublies, de te faire la guerre
Tu prends tout cet amour qui t'emporte
Tes mains se croisent pour faire en sorte
Que tes prières traversent le rideau noir
Que tes yeux s'ouvrent car
C'est ton soir
Et puis tu avance, le long du couloir
Au milieu des regards
Derrière ton visage, tu cache des failles
Et ?
Tu ramasse la moindre étincelle, de ce qui te soutienne
Le reflet de la glace devient flou
La part du traque te pend au coup
Et la douceur de l'esprit, te donne le souffle de vie
Tu prends tout cet amour qui te porte
Tes doigts se croisent pour faire en sorte
Que tes faiblesses deviennent poussières
Que tu oublie, de te faire la guerre
Tu prends tout cet amour qui te porte
Tes mains se croisent pour faire en sorte
Que tes prières caressent le rideau noir
Que tes yeux s'ouvrent car
C'est ton soir
C'est ton soir
Tu prends tout cet amour qui t'emporte
Tes doigts se croisent pour faire en sorte
Que tes faiblesses deviennent poussières
Il est bien loin, le temps de la guerre
Tu prends tout cet amour qui t'emporte
Vers des milliers de rêves, peut importe
Quand tes prières caressent le rideau noir
Que tes yeux s'ouvrent car
C'est ton soir
Au bord de l'envie, tu ressens
Le doute, l'espoir, à chaque instant
Perdu, au fond, de tes pensées
Tu va, finir, par te trouver
Le reflet de la glace devient flou
La part du traque te pend au coup
Et la douceur de l'esprit, te donne le souffle de vie
Tu prends tout cet amour qui te porte
Tes doigts se croisent pour faire en sorte
Que tes faiblesses deviennent poussières
Que tu oublies, de te faire la guerre
Tu prends tout cet amour qui t'emporte
Tes mains se croisent pour faire en sorte
Que tes prières traversent le rideau noir
Que tes yeux s'ouvrent car
C'est ton soir
Et puis tu avance, le long du couloir
Au milieu des regards
Derrière ton visage, tu cache des failles
Et ?
Tu ramasse la moindre étincelle, de ce qui te soutienne
Le reflet de la glace devient flou
La part du traque te pend au coup
Et la douceur de l'esprit, te donne le souffle de vie
Tu prends tout cet amour qui te porte
Tes doigts se croisent pour faire en sorte
Que tes faiblesses deviennent poussières
Que tu oublie, de te faire la guerre
Tu prends tout cet amour qui te porte
Tes mains se croisent pour faire en sorte
Que tes prières caressent le rideau noir
Que tes yeux s'ouvrent car
C'est ton soir
C'est ton soir
Tu prends tout cet amour qui t'emporte
Tes doigts se croisent pour faire en sorte
Que tes faiblesses deviennent poussières
Il est bien loin, le temps de la guerre
Tu prends tout cet amour qui t'emporte
Vers des milliers de rêves, peut importe
Quand tes prières caressent le rideau noir
Que tes yeux s'ouvrent car
C'est ton soir