La vie a dérangé mon âme
Mon âme oh mon âme esseulée
Je n'sais plus jamais retrouver
Mes vrais pleurs mes vraies vérités
Je cours après des impossibles
Des je voudrais des oui oui mais
J'aurais besoin de fausses lunes
Depuis que j'ai perdu la vraie
Berce-moi berce-moi
Comme le faisait mon père
En notre doux jardin
Par des soirs chauds et clairs
Berce-moi berce-moi
Comme la voix de ma mère
Quand elle était heureuse
Un peu de temps en temps
Berce-moi berce-moi
Pourquoi dire oui à tous ces non
Que mon cœur accuse en souffrance
Pourquoi me mentir sans raison
Et me donner ce mal à l'âme
Pourquoi chercher ailleurs qu'au lieu
Où se trouve joliment la paix
Pourquoi donc se crever les yeux
A regarder mal d'aussi près
Berce-moi berce-moi
Comme le faisait mon père
En notre doux jardin
Par des soirs chauds et clairs
Berce-moi berce-moi
Comme la voix de ma mère
Quand elle était heureuse
Un peu de temps en temps
Berce-moi berce-moi
Berce-moi berce-moi
Comme le faisant mon père
En notre doux jardin
Par des soirs chauds et clairs
Quand nos cœurs étaient bien
Mon âme oh mon âme esseulée
Je n'sais plus jamais retrouver
Mes vrais pleurs mes vraies vérités
Je cours après des impossibles
Des je voudrais des oui oui mais
J'aurais besoin de fausses lunes
Depuis que j'ai perdu la vraie
Berce-moi berce-moi
Comme le faisait mon père
En notre doux jardin
Par des soirs chauds et clairs
Berce-moi berce-moi
Comme la voix de ma mère
Quand elle était heureuse
Un peu de temps en temps
Berce-moi berce-moi
Pourquoi dire oui à tous ces non
Que mon cœur accuse en souffrance
Pourquoi me mentir sans raison
Et me donner ce mal à l'âme
Pourquoi chercher ailleurs qu'au lieu
Où se trouve joliment la paix
Pourquoi donc se crever les yeux
A regarder mal d'aussi près
Berce-moi berce-moi
Comme le faisait mon père
En notre doux jardin
Par des soirs chauds et clairs
Berce-moi berce-moi
Comme la voix de ma mère
Quand elle était heureuse
Un peu de temps en temps
Berce-moi berce-moi
Berce-moi berce-moi
Comme le faisant mon père
En notre doux jardin
Par des soirs chauds et clairs
Quand nos cœurs étaient bien