Je ne t'attends pas au bout d'une ligne droite
Je sais qu'il faudra faire encore des détours
Et voir passer encore des jours et des jours
Mais sans que rien ne vienne éteindre notre hâte
Il pleut chez moi, chez toi le soleil est de plomb
Quand pourrons-nous enfin marier nos saisons
Quand pourrons-nous rentrer ensemble à la maison
Nous avons le temps, mais pourquoi est-ce si long?
Mes habits ont parfois des traces de poussière
Et le parfum fané des amours passagères
Qui m'ont rendu la solitude plus légère
A l'aube de mes nuits blanches et solitaires
Et toi mon bel amour, dis moi s'il y a des hommes
Qui t'ont rendu la vie un peu moins monotone
Qui t'aident à supporter l'hiver après l'automne
Et les silences obstinés du téléphone
Nous nous raconterons nos triomphes et nos fêtes
Mais comment s'avouer toutes nos défaites
L'angoisse qui nous tient, l'angoisse qui nous guette
Et s'accroche à chaque pensée, à chaque geste
Je sais que tu seras au bout de mes voyages
Je sais que tu viendras malgré tous les détours
Nous dormirons ensemble et nous ferons l'amour
Dans un monde réinventé...
à notre image
Je ne t'attends pas au bout d'une ligne droite:
tu sais, il faudra faire encore des détours
et voir passer des jours et des jours,
mais sans que rien ne vienne éteindre notre hâte.
Il pleut chez moi, chez toi le soleil est de plomb.
Quand pourrons-nous enfin marier nos saisons?
Quand pourrons-nous rentrer ensemble à la maison?
Tes habits porteront des traces de poussière
et le parfum fang des amours passagères
qui t'ont rendu parfois l'absence plus légère.
Oh moi, mon cher amour, bien sûr j'ai eu des hommes
qui m'ont rendu la vie un peu moins monotone,
et m'aident à supporter l'hiver après l'automne.
On ne s'attend pas au bout d'une ligne droite:
tu sais, il faudra faire encore des détours
et voir passer des jours et des jours,
mais sans que rien ne vienne éteindre notre hâte.
Nous raconterons nos triomphes et nos fêtes.
Mais comment s'avouer nos superbes défaites,
nos doutes répétés, nos angoisses secrètes?
Un jour, tu seras au bout de mes voyages
un jour, tu viendras malgré tous les détours.
Nous dormirons ensemble et nous ferons l'amour
dans un monde réinventé à notre image
Je sais qu'il faudra faire encore des détours
Et voir passer encore des jours et des jours
Mais sans que rien ne vienne éteindre notre hâte
Il pleut chez moi, chez toi le soleil est de plomb
Quand pourrons-nous enfin marier nos saisons
Quand pourrons-nous rentrer ensemble à la maison
Nous avons le temps, mais pourquoi est-ce si long?
Mes habits ont parfois des traces de poussière
Et le parfum fané des amours passagères
Qui m'ont rendu la solitude plus légère
A l'aube de mes nuits blanches et solitaires
Et toi mon bel amour, dis moi s'il y a des hommes
Qui t'ont rendu la vie un peu moins monotone
Qui t'aident à supporter l'hiver après l'automne
Et les silences obstinés du téléphone
Nous nous raconterons nos triomphes et nos fêtes
Mais comment s'avouer toutes nos défaites
L'angoisse qui nous tient, l'angoisse qui nous guette
Et s'accroche à chaque pensée, à chaque geste
Je sais que tu seras au bout de mes voyages
Je sais que tu viendras malgré tous les détours
Nous dormirons ensemble et nous ferons l'amour
Dans un monde réinventé...
à notre image
Je ne t'attends pas au bout d'une ligne droite:
tu sais, il faudra faire encore des détours
et voir passer des jours et des jours,
mais sans que rien ne vienne éteindre notre hâte.
Il pleut chez moi, chez toi le soleil est de plomb.
Quand pourrons-nous enfin marier nos saisons?
Quand pourrons-nous rentrer ensemble à la maison?
Tes habits porteront des traces de poussière
et le parfum fang des amours passagères
qui t'ont rendu parfois l'absence plus légère.
Oh moi, mon cher amour, bien sûr j'ai eu des hommes
qui m'ont rendu la vie un peu moins monotone,
et m'aident à supporter l'hiver après l'automne.
On ne s'attend pas au bout d'une ligne droite:
tu sais, il faudra faire encore des détours
et voir passer des jours et des jours,
mais sans que rien ne vienne éteindre notre hâte.
Nous raconterons nos triomphes et nos fêtes.
Mais comment s'avouer nos superbes défaites,
nos doutes répétés, nos angoisses secrètes?
Un jour, tu seras au bout de mes voyages
un jour, tu viendras malgré tous les détours.
Nous dormirons ensemble et nous ferons l'amour
dans un monde réinventé à notre image