Gorthoth n'etait désormais plus de ce monde. La mort dans sa robe la plus
sadique l'avait a cet instant emporté aux confins des enfers.
Ayant du mal a admettre ces évènements dont il etait la cause, Miran repris
sa marche le long du sentier sinueux logeant les rives du fleuve. Le paysage
qui l'entourait devenait de plus en plus sinistre, et son impression d'être
suivi grandissait a chacun de ses pas. Quelques lieus avaient etaient
parcourus lorsque Miran décida de se reposer jusqu'à l'aube. Ainsi il
s'endormit sur le bas coté pour laisser place à un sommeil des plus
perturbé.
A son réveil, le décor n'etait plus le même, ce sinistre sentier laissant
place a une pièce agréablement parfumée. Se levant brusquement, Miran eu la
surprise de voir allongée a ses coté une femme nue des plus magnifiques. Le
sursaut de ce dernier avait troublé son sommeil et avec une délicatesse
d'ange, elle ouvrit les yeux. A la stupeur de Miran, ses yeux etaient ceux
d'une chatte...
[Emeyrine:] Dans ma mémoire, cette nuit est ancrée, en lieu et place d'une
magnifique chevauchée, tant d'hommes pourtant m'ont déjà montés, mais toi tu
as atteint les plus hauts sommets...
[Miran:] Mais qui est-tu toi la saloppe de mes fantasmes !
Je n'ai point de souvenirs de quelques scènes d'o*****es !
Ou sommes-nous, je ne connaît pas ce lieu si luxueux.
Quelle est cette antre que seul mes rêves cachés ont imaginés !
Ou suis-je...
Comment est-ce possible...
Dans son égarement incontrôlé, Miran n'entendit pas le strident grincement
de la porte. Un homme vêtu d'une longue robe noire venait d'entrer dans la
pièce. Son visage était caché, mais l'on pouvait malgré tout percevoir les
traits d'un homme que le temps n'avait pas épargné...
[Satyrus:] Bien le bonjour a toi le fils du grand prêtre Cébil. Bienvenu dans
ce temple qui est le fruit de tes vœux les plus secrets.
Ailleurs tu ne peux librement évoluer...
Ailleurs est le règne de la dure réalité...
[Miran:] Que racontes-tu vieillard des mondes oubliés ?
Que sait-tu de mes vœux les plus secrets ?
Mon cœur est tendre...
[Satyrus:] Ton cœur est sadique...
[Miran:] Nooooonnnnnnnnn...
Je ne veut pas être un homme maléfique
Mon vœu le plus cher est de me battre pour mes amis...
[Emeyrine:] Ton discours de cette nuit n'etait pas ce récit.
Violent tu es au lit, violente sera ta vie.
[Satyrus:] Admet donc qu'avec cette p*****, tu as pris ton pied.
Alors viens a moi, je te montrerai ton œuvre concrétisée.
Ailleurs tes fantasmes ne peuvent être réalisés...
Ailleurs tu ne pourra t'extérioriser...
Ils passèrent la porte entrebaîllée et arrivèrent dans un jardin au centre
du quel s 'érigeait un pommier. Une très forte lumière aux reflets
rougeâtres éclairait ce lieu ou se déroulait gracieusement, dans un
jouissance collective une orgie commencée selon le prêtre Satyrus depuis un
peu plus de 21 ans, ou plus exactement depuis la naissance de Miran...
Ce dernier commençait à réaliser, qu'en un seul et même corps se cachait une
autre personnalité qui n'attendais que le moment propice pour mettre a feu
et a sang ce peuple innocent.
[Miran:] En est-ce réellement moi le créateur ?
Mon esprit est-il si dépravé ?
Les p*****s démoniaques, actrices de l'orgie : Miran, Miran, viens avec
nous..
Miran, Miran, pénètre-nous...
sadique l'avait a cet instant emporté aux confins des enfers.
Ayant du mal a admettre ces évènements dont il etait la cause, Miran repris
sa marche le long du sentier sinueux logeant les rives du fleuve. Le paysage
qui l'entourait devenait de plus en plus sinistre, et son impression d'être
suivi grandissait a chacun de ses pas. Quelques lieus avaient etaient
parcourus lorsque Miran décida de se reposer jusqu'à l'aube. Ainsi il
s'endormit sur le bas coté pour laisser place à un sommeil des plus
perturbé.
A son réveil, le décor n'etait plus le même, ce sinistre sentier laissant
place a une pièce agréablement parfumée. Se levant brusquement, Miran eu la
surprise de voir allongée a ses coté une femme nue des plus magnifiques. Le
sursaut de ce dernier avait troublé son sommeil et avec une délicatesse
d'ange, elle ouvrit les yeux. A la stupeur de Miran, ses yeux etaient ceux
d'une chatte...
[Emeyrine:] Dans ma mémoire, cette nuit est ancrée, en lieu et place d'une
magnifique chevauchée, tant d'hommes pourtant m'ont déjà montés, mais toi tu
as atteint les plus hauts sommets...
[Miran:] Mais qui est-tu toi la saloppe de mes fantasmes !
Je n'ai point de souvenirs de quelques scènes d'o*****es !
Ou sommes-nous, je ne connaît pas ce lieu si luxueux.
Quelle est cette antre que seul mes rêves cachés ont imaginés !
Ou suis-je...
Comment est-ce possible...
Dans son égarement incontrôlé, Miran n'entendit pas le strident grincement
de la porte. Un homme vêtu d'une longue robe noire venait d'entrer dans la
pièce. Son visage était caché, mais l'on pouvait malgré tout percevoir les
traits d'un homme que le temps n'avait pas épargné...
[Satyrus:] Bien le bonjour a toi le fils du grand prêtre Cébil. Bienvenu dans
ce temple qui est le fruit de tes vœux les plus secrets.
Ailleurs tu ne peux librement évoluer...
Ailleurs est le règne de la dure réalité...
[Miran:] Que racontes-tu vieillard des mondes oubliés ?
Que sait-tu de mes vœux les plus secrets ?
Mon cœur est tendre...
[Satyrus:] Ton cœur est sadique...
[Miran:] Nooooonnnnnnnnn...
Je ne veut pas être un homme maléfique
Mon vœu le plus cher est de me battre pour mes amis...
[Emeyrine:] Ton discours de cette nuit n'etait pas ce récit.
Violent tu es au lit, violente sera ta vie.
[Satyrus:] Admet donc qu'avec cette p*****, tu as pris ton pied.
Alors viens a moi, je te montrerai ton œuvre concrétisée.
Ailleurs tes fantasmes ne peuvent être réalisés...
Ailleurs tu ne pourra t'extérioriser...
Ils passèrent la porte entrebaîllée et arrivèrent dans un jardin au centre
du quel s 'érigeait un pommier. Une très forte lumière aux reflets
rougeâtres éclairait ce lieu ou se déroulait gracieusement, dans un
jouissance collective une orgie commencée selon le prêtre Satyrus depuis un
peu plus de 21 ans, ou plus exactement depuis la naissance de Miran...
Ce dernier commençait à réaliser, qu'en un seul et même corps se cachait une
autre personnalité qui n'attendais que le moment propice pour mettre a feu
et a sang ce peuple innocent.
[Miran:] En est-ce réellement moi le créateur ?
Mon esprit est-il si dépravé ?
Les p*****s démoniaques, actrices de l'orgie : Miran, Miran, viens avec
nous..
Miran, Miran, pénètre-nous...