Les fantasmes de mille hommes réunis s'accomplissaient la, dans ce jardin de
la luxure. Malgré lui, la possession de Miran etait en bonne voie.
L'érection etait apparue engendrant par la même occasion, une foule de
pensées perverses et malveillantes...
La reconnaissance de l'identité du fils de Cébil prenait le dessus sur
l'honorable Miran pourtant conscient de ses pensées.
[Miran (Au tréfonds de lui-même):] Egorger l'une de ces femmes, boire son sang
tant qu'elle est consciente, quel sublime supplice...
Transpercer sa voisine de mon organe chargé au cyanure, tel est mon vice...
Milara (Cachée derrière l'un des piliers entourant le jardin): Miran, mon
amour, reprends toi, ôtes ces pensées qui prônent la décadence.
La gardienne du puits avait suivi Miran depuis le début de sa quête. L'amour
qu'elle lui portait etait infini, elle ne pouvait se résigner a voir le fils
de Cébil gagner. Miran se retourna violemment, son regard etait froid et
sordide...
[Miran:] Que cherches-tu, toi la pucelle, serais-tu la pour venir prendre ton
pied.
Viens......le sang va gicler.
Tu me feras visiter, les jambes écartées, ton jardin secret...
Vers ce pommier, tu y perdra ta virginité.
Une fois fini je te sacrifierai a la gloire de mon père bien-aimé.
Miran est mort, son esprit l'est aussi, bien misérable sort, aux portes de
l'oubli. Tu es ici au berceau de mon âme, il te faut respecter mes perverses
lois. C'est en ce lieu que ma nature se libère, maudites sont les paroles
que tu y profères.
[Satyrus:] Miran est des nôtres, le sang du christ va couler. La venue du
démon est annoncée, tu ne pourra plus rien y changer...
[Milara:] Je ne puis me résigner...
[Miran:] Le mal est en moi.
[Milara:] Fils de Cébil, je te combattrai
[Miran:] Miran tu détruira...
[Milara (effectuant un rituel):] Fils de Cébil, sort de ce corps.
Que ton âme trouve le pardon !
Je te l'ordonne, quitte ce corps !
Et que Miran reprenne raison.
Milara n'avait jamais pratiquée de tels rituels se rapprochant de
l'exorcisme chrétien. Ses gestes etaient imprécis et sa voix incertaine,
seul l'eau pure et bénéfique de son ruisseau, ainsi que l'innocence de son
esprit et de son corps pouvaient la sauvait d'une mort certaine au cœur de
l'incandescence des flammes de l'enfer .
Heureusement pour elle, l'identité en tant que fils de Cébil n'etait pas
encore suffisamment ancrée au fond du cœur de Miran. Le regard de ce dernier
retrouvait sa pureté, entraînant sa conscience dans une confusion des plus
épaisses...
Mais la magie ne visait que Miran, Satyrus restant d'une malveillance sans
égal...
[Satyrus:] Misérable pute, tu as détruit mon œuvre.
Mais l'on se reverra, et ton sang coulera
Mort a toi...
Satyrus disparu alors, ne laissant a sa place qu'une nuée de cafard tous
plus immondes les uns que les autres. Les secondes s'écoulaient, tandis que
le jardin disparaissait dans une magie des plus puissantes. Pourtant, les
putains démoniaques restaient la, a continuer leur orgie collective ainsi
que leurs o*****es successifs...
Le fils de Cébil demeurait inerte au cœur de Miran, mais pour combien de
temps...La continuité de ces scènes de s**e ne faisaient que confirmer cette
pensée.
la luxure. Malgré lui, la possession de Miran etait en bonne voie.
L'érection etait apparue engendrant par la même occasion, une foule de
pensées perverses et malveillantes...
La reconnaissance de l'identité du fils de Cébil prenait le dessus sur
l'honorable Miran pourtant conscient de ses pensées.
[Miran (Au tréfonds de lui-même):] Egorger l'une de ces femmes, boire son sang
tant qu'elle est consciente, quel sublime supplice...
Transpercer sa voisine de mon organe chargé au cyanure, tel est mon vice...
Milara (Cachée derrière l'un des piliers entourant le jardin): Miran, mon
amour, reprends toi, ôtes ces pensées qui prônent la décadence.
La gardienne du puits avait suivi Miran depuis le début de sa quête. L'amour
qu'elle lui portait etait infini, elle ne pouvait se résigner a voir le fils
de Cébil gagner. Miran se retourna violemment, son regard etait froid et
sordide...
[Miran:] Que cherches-tu, toi la pucelle, serais-tu la pour venir prendre ton
pied.
Viens......le sang va gicler.
Tu me feras visiter, les jambes écartées, ton jardin secret...
Vers ce pommier, tu y perdra ta virginité.
Une fois fini je te sacrifierai a la gloire de mon père bien-aimé.
Miran est mort, son esprit l'est aussi, bien misérable sort, aux portes de
l'oubli. Tu es ici au berceau de mon âme, il te faut respecter mes perverses
lois. C'est en ce lieu que ma nature se libère, maudites sont les paroles
que tu y profères.
[Satyrus:] Miran est des nôtres, le sang du christ va couler. La venue du
démon est annoncée, tu ne pourra plus rien y changer...
[Milara:] Je ne puis me résigner...
[Miran:] Le mal est en moi.
[Milara:] Fils de Cébil, je te combattrai
[Miran:] Miran tu détruira...
[Milara (effectuant un rituel):] Fils de Cébil, sort de ce corps.
Que ton âme trouve le pardon !
Je te l'ordonne, quitte ce corps !
Et que Miran reprenne raison.
Milara n'avait jamais pratiquée de tels rituels se rapprochant de
l'exorcisme chrétien. Ses gestes etaient imprécis et sa voix incertaine,
seul l'eau pure et bénéfique de son ruisseau, ainsi que l'innocence de son
esprit et de son corps pouvaient la sauvait d'une mort certaine au cœur de
l'incandescence des flammes de l'enfer .
Heureusement pour elle, l'identité en tant que fils de Cébil n'etait pas
encore suffisamment ancrée au fond du cœur de Miran. Le regard de ce dernier
retrouvait sa pureté, entraînant sa conscience dans une confusion des plus
épaisses...
Mais la magie ne visait que Miran, Satyrus restant d'une malveillance sans
égal...
[Satyrus:] Misérable pute, tu as détruit mon œuvre.
Mais l'on se reverra, et ton sang coulera
Mort a toi...
Satyrus disparu alors, ne laissant a sa place qu'une nuée de cafard tous
plus immondes les uns que les autres. Les secondes s'écoulaient, tandis que
le jardin disparaissait dans une magie des plus puissantes. Pourtant, les
putains démoniaques restaient la, a continuer leur orgie collective ainsi
que leurs o*****es successifs...
Le fils de Cébil demeurait inerte au cœur de Miran, mais pour combien de
temps...La continuité de ces scènes de s**e ne faisaient que confirmer cette
pensée.