"Par hasard, tu ne connaîtrais pas un affluent du Mississipi en trois lettres ?"
Elle fait des mots croisés et pendant que je cherche l'inspiration
Elle m'apporte un grand bol de café noir en me disant "Je te dérange peut-être"
Je voudrais hurler, puis elle sourit et je m'entends lui dire "Bien sûr que non"
Je crois qu'elle est ainsi, oui je crois bien
Mais parfois je crois que je n'en sais rien
Quelquefois cela l'agace de voir mon bureau enseveli sous la poussière
Elle déplace quelques piles de brouillons, prétendant le ranger un peu
Puis elle y trouve un bouquin traînant par là dont rien au monde ne peut la distraire
Si j'essaye elle rugit comme un lion à qui on a marché sur la queue
Je crois qu'elle est ainsi, oui je crois bien
Mais parfois je crois que je n'en sais rien
Et pourtant elle est la seule à se retrouver dans mes papiers et dans mes affaires
Dans mes clés, mes cigarettes, mes lunettes, mes factures à payer
Et transporte dans son sac à main qui, pour moi, est toujours le plus grand des mystères
N'importe où, n'importe quand, n'importe quel objet que je puis demander
Je crois qu'elle est ainsi, oui je crois bien
Mais parfois je crois que je n'en sais rien
Elle fait ce qu'elle veut, quand elle veut et sa logique est toujours la meilleure
Elle conduit comme un gangster sauf pour se garer, ou je lui sers de chauffeur
Elle rit et chante en inondant la salle de bain et ne peut jamais être à l'heure
Elle m'appelle "Prince charmant" suivi de "Quand vas-tu chez le coiffeur ?"
Je crois qu'elle est ainsi, oui je crois bien
Mais parfois je crois que je n'en sais rien
Elle fait des mots croisés et pendant que je cherche l'inspiration
Elle m'apporte un grand bol de café noir en me disant "Je te dérange peut-être"
Je voudrais hurler, puis elle sourit et je m'entends lui dire "Bien sûr que non"
Je crois qu'elle est ainsi, oui je crois bien
Mais parfois je crois que je n'en sais rien
Quelquefois cela l'agace de voir mon bureau enseveli sous la poussière
Elle déplace quelques piles de brouillons, prétendant le ranger un peu
Puis elle y trouve un bouquin traînant par là dont rien au monde ne peut la distraire
Si j'essaye elle rugit comme un lion à qui on a marché sur la queue
Je crois qu'elle est ainsi, oui je crois bien
Mais parfois je crois que je n'en sais rien
Et pourtant elle est la seule à se retrouver dans mes papiers et dans mes affaires
Dans mes clés, mes cigarettes, mes lunettes, mes factures à payer
Et transporte dans son sac à main qui, pour moi, est toujours le plus grand des mystères
N'importe où, n'importe quand, n'importe quel objet que je puis demander
Je crois qu'elle est ainsi, oui je crois bien
Mais parfois je crois que je n'en sais rien
Elle fait ce qu'elle veut, quand elle veut et sa logique est toujours la meilleure
Elle conduit comme un gangster sauf pour se garer, ou je lui sers de chauffeur
Elle rit et chante en inondant la salle de bain et ne peut jamais être à l'heure
Elle m'appelle "Prince charmant" suivi de "Quand vas-tu chez le coiffeur ?"
Je crois qu'elle est ainsi, oui je crois bien
Mais parfois je crois que je n'en sais rien