Dans le jardin de Monsieur Paul
Sont exposés bien des secrets
De chutes de reins en frêles épaules
D'un voyage sur un chevalet
Et ce visage toujours le même
Comme s'il n'avait eu qu'une femme
Passe sa vie à dire je t'aime
A cette femme qui s'appelait Tam
Et la peinture toujours toujours
Monsieur Delvaux
Acharné des couleurs d'amour
A la recherche du plus beau
Et la peinture toujours toujours
Comme des mots
Toujours la même au long des jours
Toujours la même sur vos tableaux
Dans le jardin de Monsieur Paul
Traîne la voix de ses parents
Des premiers dessins de l'école
Et les yeux d'une femme enfant
Et puis bien sûr la mer du Nord
Des brumes grises en platitudes
Les trains où il peignait encore
Cette femme en béatitude
Et ta peinture toujours toujours
Monsieur Delvaux
Acharné des couleurs d'amour
A la recherche du plus beau
Et la peinture toujours toujours
Comme des mots
Toujours la même au long des jours
Toujours la même sur vos tableaux
Dans le jardin de Monsieur Paul
Quatre-vingt-dix-sept ans d'amour
Dédiés à cette femme idole
Emprisonnée dans son coeur lourd
Perdue de vue si loin de lui
Mais si vivante dans son âme
Et au hasard d'une librairie
Il se retourne et c'était Tam
Sont exposés bien des secrets
De chutes de reins en frêles épaules
D'un voyage sur un chevalet
Et ce visage toujours le même
Comme s'il n'avait eu qu'une femme
Passe sa vie à dire je t'aime
A cette femme qui s'appelait Tam
Et la peinture toujours toujours
Monsieur Delvaux
Acharné des couleurs d'amour
A la recherche du plus beau
Et la peinture toujours toujours
Comme des mots
Toujours la même au long des jours
Toujours la même sur vos tableaux
Dans le jardin de Monsieur Paul
Traîne la voix de ses parents
Des premiers dessins de l'école
Et les yeux d'une femme enfant
Et puis bien sûr la mer du Nord
Des brumes grises en platitudes
Les trains où il peignait encore
Cette femme en béatitude
Et ta peinture toujours toujours
Monsieur Delvaux
Acharné des couleurs d'amour
A la recherche du plus beau
Et la peinture toujours toujours
Comme des mots
Toujours la même au long des jours
Toujours la même sur vos tableaux
Dans le jardin de Monsieur Paul
Quatre-vingt-dix-sept ans d'amour
Dédiés à cette femme idole
Emprisonnée dans son coeur lourd
Perdue de vue si loin de lui
Mais si vivante dans son âme
Et au hasard d'une librairie
Il se retourne et c'était Tam