Eja me sentire vim doloris
Fac ut tecum lugeam
J'ai si souvent cherché parmi les artifices
Le regard innocent qui me dirait courage
A traves la souffrance et qui dans les naufrages
Me donnerait la main comme un ancien complice
L'evanescent baiser qui pardonne et comprend
La chair qui le mérite et les yeux qui l'espèrent
Et qui subtile arcane héritée de nos pères
Mêle au creuset du coeur la foudre avec le sang
Cherchant dans la poussière un avenir à l'âme
Arrose mon tombeau de fluctuantes larmes
Qui sait ce qui éclôt de ces vaines douleurs
Si ce n'est le bonheur de voir jaillir ensemble
Plus ne m`rest rien...
Fais-toi pâle ce soir je n'ai plus qu'une envie
Venir crever ce coeur qui n`a fait que trop battre
Sois belle et joue sans fiel mon âme est un théâtre
Où de toi se déverse une ivresse infinie
Mais à la fin les fleurs sont toutes un peu les mêmes
Une image que l'on pleure parmi les chrysanthèmes
Plus ne m'est rien...
Eja me sentire vim doloris
Fac ut tecum lugeam
Fac ut tecum lugeam
J'ai si souvent cherché parmi les artifices
Le regard innocent qui me dirait courage
A traves la souffrance et qui dans les naufrages
Me donnerait la main comme un ancien complice
L'evanescent baiser qui pardonne et comprend
La chair qui le mérite et les yeux qui l'espèrent
Et qui subtile arcane héritée de nos pères
Mêle au creuset du coeur la foudre avec le sang
Cherchant dans la poussière un avenir à l'âme
Arrose mon tombeau de fluctuantes larmes
Qui sait ce qui éclôt de ces vaines douleurs
Si ce n'est le bonheur de voir jaillir ensemble
Plus ne m`rest rien...
Fais-toi pâle ce soir je n'ai plus qu'une envie
Venir crever ce coeur qui n`a fait que trop battre
Sois belle et joue sans fiel mon âme est un théâtre
Où de toi se déverse une ivresse infinie
Mais à la fin les fleurs sont toutes un peu les mêmes
Une image que l'on pleure parmi les chrysanthèmes
Plus ne m'est rien...
Eja me sentire vim doloris
Fac ut tecum lugeam