Sur cette côte d'azur
Les baigneurs palmipèdes
Ignorent tout
Des secrètes plages où
L'on étend
Nos dix-sept ans.
Tu m'as dit oui, mais tu n'étais pas sûre
Je t'ai conduite dans la pinède
C'est en dessous
Des arbres que l'on joue
Que l'on étend
Nos dix-sept ans.
Touts les premières fois
Louche
L'amour est maladroit
Gauche
Dans le bois tourne à droite
Gauche
Droite, gauche
C'est bien ce que tu crois
Sache
Que souvent ça déçoit
Qu'on le fasse dans les bois
Dans la chambre d'hôtel
Ou dans l'aube du soir
Toutes les premières fois
Il faut que l'on sache déchoir
Se perdre
Mieux
Vaut fer-
mer les yeux
Ne cesse
Trois, quatre
De compter princesse
Trois, quatre
De compter princesse
Il faut que l'on sache déchoir
Se perdre
Mieux
Vaut fer-
mer les yeux
Ne cesse
Trois, quatre
De compter princesse.
Tu étais mal dans tes gaudasses
Dans tes baskets converse
Et je priai les godess
De la promenade des anglais
D'abord je paradais
Puis tu appréhendais
Mes audaces
D'un geste tu les chassas
Comme les moucherons
Au dessus de nos têtes
Et mes largesses
Tu les mis à l'index
C'est déjà ça
A l'index ah!
C'est déjà sale
Au café du commerce
Voilà du grain à moudre
Le grand amour commence
Par un coup/ De foudre
Et le vent désertique a mis le feu aux poudres
Pendant qu'on s'aime
Crépitent les arbres brûlants
Entends-tu la violence sourdre?
C'est la mort que les flammes sèment
En sens-tu les relents ?
C'est la mort dans la pinède!
Nos cœurs s'embrasent
La forêt aussi.
Les baigneurs palmipèdes
Ignorent tout
Des secrètes plages où
L'on étend
Nos dix-sept ans.
Tu m'as dit oui, mais tu n'étais pas sûre
Je t'ai conduite dans la pinède
C'est en dessous
Des arbres que l'on joue
Que l'on étend
Nos dix-sept ans.
Touts les premières fois
Louche
L'amour est maladroit
Gauche
Dans le bois tourne à droite
Gauche
Droite, gauche
C'est bien ce que tu crois
Sache
Que souvent ça déçoit
Qu'on le fasse dans les bois
Dans la chambre d'hôtel
Ou dans l'aube du soir
Toutes les premières fois
Il faut que l'on sache déchoir
Se perdre
Mieux
Vaut fer-
mer les yeux
Ne cesse
Trois, quatre
De compter princesse
Trois, quatre
De compter princesse
Il faut que l'on sache déchoir
Se perdre
Mieux
Vaut fer-
mer les yeux
Ne cesse
Trois, quatre
De compter princesse.
Tu étais mal dans tes gaudasses
Dans tes baskets converse
Et je priai les godess
De la promenade des anglais
D'abord je paradais
Puis tu appréhendais
Mes audaces
D'un geste tu les chassas
Comme les moucherons
Au dessus de nos têtes
Et mes largesses
Tu les mis à l'index
C'est déjà ça
A l'index ah!
C'est déjà sale
Au café du commerce
Voilà du grain à moudre
Le grand amour commence
Par un coup/ De foudre
Et le vent désertique a mis le feu aux poudres
Pendant qu'on s'aime
Crépitent les arbres brûlants
Entends-tu la violence sourdre?
C'est la mort que les flammes sèment
En sens-tu les relents ?
C'est la mort dans la pinède!
Nos cœurs s'embrasent
La forêt aussi.