Petits enfants, jouer dans la prairie,
Chantez,chantez le doux parfum des fleurs,
Profitez bien du printemps de la vie,
Trop tôt hélas vous verserez des pleurs.
Dernier amour de ma vieillesse,
Venez a moi petits-enfants,
Je veux de vous une caresse,
Pour oublier, pour oublier mes cheveux blancs.
Petits-enfants vous avez une mère,
Et tout les soirs près de votre berceau,
Pour elle au ciel offrez votre prière,
Aimez la bien jusqu'au jour du tombeau.
Dernier amour de ma vieillesse,
Venez à moi petits-enfants,
Je veux de vous une caresse,
Pour oublier, pour oublier mes cheveux blancs.
En vieillissant, j'ai connue la tristesse,
Ceux que j'aimais, je les ai vues partir,
Oh laissez moi vous prouvez ma tendresse,
C'est en aimant que je voudrais mourir.
Dernier amour de ma vieillesse,
Venez à moi petits-enfants,
Je veux de vous une caresse,
Pour oublier, pour oublier mes cheveux blancs,
Pour oublier mes cheveux blancs.
Chantez,chantez le doux parfum des fleurs,
Profitez bien du printemps de la vie,
Trop tôt hélas vous verserez des pleurs.
Dernier amour de ma vieillesse,
Venez a moi petits-enfants,
Je veux de vous une caresse,
Pour oublier, pour oublier mes cheveux blancs.
Petits-enfants vous avez une mère,
Et tout les soirs près de votre berceau,
Pour elle au ciel offrez votre prière,
Aimez la bien jusqu'au jour du tombeau.
Dernier amour de ma vieillesse,
Venez à moi petits-enfants,
Je veux de vous une caresse,
Pour oublier, pour oublier mes cheveux blancs.
En vieillissant, j'ai connue la tristesse,
Ceux que j'aimais, je les ai vues partir,
Oh laissez moi vous prouvez ma tendresse,
C'est en aimant que je voudrais mourir.
Dernier amour de ma vieillesse,
Venez à moi petits-enfants,
Je veux de vous une caresse,
Pour oublier, pour oublier mes cheveux blancs,
Pour oublier mes cheveux blancs.