Dans la forêt, au cœur de la clairière,
Un peintre, un jour, posa son chevalet.
Dans le ruisseau courant dans la bruyère,
Il vit soudain Lison qui se mirait.
Dans le ruisseau courant dans la bruyère,
Il vit soudain Lison qui se mirait.
Si frais, si pur, lui sembla ce visage
Que, sans attendre, il peignit son reflet.
Et les oiseaux, le jour de leur mariage,
Jetèrent au ciel leurs plus beaux triolets.
Et les oiseaux, le jour de leur mariage,
Jetèrent au ciel leurs plus beaux triolets.
Dans la forêt, ayant trouvé l'étoile
Dont il rêvait comme un trésor secret,
On m'a conté qu'il déchira sa toile
Car le bonheur était bien plus parfait.
De ma chanson, retenez la morale :
Un grand amour vaut mieux que son portrait.
Un peintre, un jour, posa son chevalet.
Dans le ruisseau courant dans la bruyère,
Il vit soudain Lison qui se mirait.
Dans le ruisseau courant dans la bruyère,
Il vit soudain Lison qui se mirait.
Si frais, si pur, lui sembla ce visage
Que, sans attendre, il peignit son reflet.
Et les oiseaux, le jour de leur mariage,
Jetèrent au ciel leurs plus beaux triolets.
Et les oiseaux, le jour de leur mariage,
Jetèrent au ciel leurs plus beaux triolets.
Dans la forêt, ayant trouvé l'étoile
Dont il rêvait comme un trésor secret,
On m'a conté qu'il déchira sa toile
Car le bonheur était bien plus parfait.
De ma chanson, retenez la morale :
Un grand amour vaut mieux que son portrait.