A toi mon ami qui, encore, compte les jours et les années,
entre un soupir quand tu t'endors et des croix sur l'calendrier...
A toi mon ami qui peut être, aime à venir la nuit tombée,
regarder filer les étoiles et faire un vœu les soirs d'été...
A tous ces beaux conquistadors qui nous ont pillé nos trésors,
pour ces nuits ou l'âme égarée on a bu à nos encriers...
Pour les distants pour les farouches, qui nous ont laissé sur la touche,
pour les caresses suspendues, on a trinqué, oui on a bu !
Mais tu te saoules à la mémoire... des amours...
Pour les morsures et les regrets, pour les océans d'eau salée,
pour les promesses non tenues, à l'eau de nos yeux on a bu !
Et pour les brûlures des cyniques et les vertiges à sens unique,
aux vrais espoirs, aux faux aveux, on a bu à l'eau de nos yeux !
Mais tu te saoules à la mémoire... des amours, des amours !
Pour les silences et les non-dits, les dos tournés dans nos grands lits,
et pour les doutes qui nous séparent, on a dansé nos idées noires...
à ces nomades solitaires qui ont traversé nos frontières,
pour ces marmots dont on rêvait, nos idées noires on a dansé...
On a dansé, on a dansé...
A toi mon ami qui peut être, aime à venir la nuit tombée, regarder filer les étoiles,
on a dansé, on a dansé...
Mais tu te saoules à la mémoire... des amours, des amours...
Et tu te saoules à la mémoire... des amours, des amours, des amours... (...)
entre un soupir quand tu t'endors et des croix sur l'calendrier...
A toi mon ami qui peut être, aime à venir la nuit tombée,
regarder filer les étoiles et faire un vœu les soirs d'été...
A tous ces beaux conquistadors qui nous ont pillé nos trésors,
pour ces nuits ou l'âme égarée on a bu à nos encriers...
Pour les distants pour les farouches, qui nous ont laissé sur la touche,
pour les caresses suspendues, on a trinqué, oui on a bu !
Mais tu te saoules à la mémoire... des amours...
Pour les morsures et les regrets, pour les océans d'eau salée,
pour les promesses non tenues, à l'eau de nos yeux on a bu !
Et pour les brûlures des cyniques et les vertiges à sens unique,
aux vrais espoirs, aux faux aveux, on a bu à l'eau de nos yeux !
Mais tu te saoules à la mémoire... des amours, des amours !
Pour les silences et les non-dits, les dos tournés dans nos grands lits,
et pour les doutes qui nous séparent, on a dansé nos idées noires...
à ces nomades solitaires qui ont traversé nos frontières,
pour ces marmots dont on rêvait, nos idées noires on a dansé...
On a dansé, on a dansé...
A toi mon ami qui peut être, aime à venir la nuit tombée, regarder filer les étoiles,
on a dansé, on a dansé...
Mais tu te saoules à la mémoire... des amours, des amours...
Et tu te saoules à la mémoire... des amours, des amours, des amours... (...)