Quand deux oiseaux se battront le matin sous ta fenêtre
Et que leurs cris aigus te sortiront du lit
Ne cherche ni le piège, ni le mal qui les agitent ainsi
Regarde dans la rue, le printemps est venu
Et si tu as aimé, tu t'attarderas, ce matin-là
Le ruisseau qui zigzague et qui court pendant des milles
Fouillant tous les bosquets jusqu'au fin fond des champs
Cherche la source froide qui l'appelle derrière les bouleaux blancs
Et tous deux réunis, confondus, se taisant
Iront mourir d'amour dans la mer maintenant
Quand tu dis que tu m'aimes et que tu danses au village
Avec tous les garçons qui ont cheveux bouclés
Tu mens effrontément, alors moi demain, je m'en irai
Plus loin que ce pays, plus loin que les nuages
Et j'enverrai la mort te tuer, cher visage
Regarde dans la rue, le printemps est venu
Et si tu as aimé, tu t'attarderas, ce matin-là
Et que leurs cris aigus te sortiront du lit
Ne cherche ni le piège, ni le mal qui les agitent ainsi
Regarde dans la rue, le printemps est venu
Et si tu as aimé, tu t'attarderas, ce matin-là
Le ruisseau qui zigzague et qui court pendant des milles
Fouillant tous les bosquets jusqu'au fin fond des champs
Cherche la source froide qui l'appelle derrière les bouleaux blancs
Et tous deux réunis, confondus, se taisant
Iront mourir d'amour dans la mer maintenant
Quand tu dis que tu m'aimes et que tu danses au village
Avec tous les garçons qui ont cheveux bouclés
Tu mens effrontément, alors moi demain, je m'en irai
Plus loin que ce pays, plus loin que les nuages
Et j'enverrai la mort te tuer, cher visage
Regarde dans la rue, le printemps est venu
Et si tu as aimé, tu t'attarderas, ce matin-là