Que de temps passé en surface,
Que de temps à ne pas s'encombrer
Du temps et des étoiles tombées.
Que de temps passé en surface.
Je me voulais léger, léger
Du plaisir sans se retourner.
Ce plaisir ne m'allégeait pas,
la beauté n'avait pas de bras.
Je rêvais d'une vie de plumes,
Ignorais la stèle et l'enclume
Je balayais mes propres traces
Que de temps perdu en surface.
Que de temps passé en surface,
Que de temps à ne pas succomber
Au spleen et aux étoiles plombées.
Que de temps passé en surface.
L'éphémère était mon crédo
Et hier, à la mauvaise place.
Je n'aimais pas trop mon cerveau,
Mon corps envahissait l'espace.
Et puis j'ai vu bouger la surface
Tout le temps venant à déborder.
Je pensais ne pas y penser,
Oui mais nos pensées nous dépassent
Et j'ai glissé sur la surface,
Délesté de la légèreté.
J'ai compté les étoiles tombées
Et claqué le temps passé en surface.
Que de temps passé en surface.
Que de temps à ne pas s'encombrer
Du temps et des étoiles tombées.
Que de temps passé en surface.
(Merci à Jackie Boullier pour cettes paroles)
Que de temps à ne pas s'encombrer
Du temps et des étoiles tombées.
Que de temps passé en surface.
Je me voulais léger, léger
Du plaisir sans se retourner.
Ce plaisir ne m'allégeait pas,
la beauté n'avait pas de bras.
Je rêvais d'une vie de plumes,
Ignorais la stèle et l'enclume
Je balayais mes propres traces
Que de temps perdu en surface.
Que de temps passé en surface,
Que de temps à ne pas succomber
Au spleen et aux étoiles plombées.
Que de temps passé en surface.
L'éphémère était mon crédo
Et hier, à la mauvaise place.
Je n'aimais pas trop mon cerveau,
Mon corps envahissait l'espace.
Et puis j'ai vu bouger la surface
Tout le temps venant à déborder.
Je pensais ne pas y penser,
Oui mais nos pensées nous dépassent
Et j'ai glissé sur la surface,
Délesté de la légèreté.
J'ai compté les étoiles tombées
Et claqué le temps passé en surface.
Que de temps passé en surface.
Que de temps à ne pas s'encombrer
Du temps et des étoiles tombées.
Que de temps passé en surface.
(Merci à Jackie Boullier pour cettes paroles)