Le long de la vie et des rues
On croise seules ou bien pendues
Aux bras d'inconnus qu'on déteste
Des femmes au charme manifeste
Ca nous fait comme dans Les Passantes
La jolie chanson de Brassens
On a le cœur qui déjante
Et le temps d'un flash on en pince
Pour une beauté sophistiquée
A l'arrière de sa limousine
Une étudiante aux yeux cernés
Qui monte les marches de Dauphine
Devant la sortie de l'école
Pour une bien jolie maman
Dont les journées sont bien trop folles
Pour s'encombrer du moindre amant
La plus jolie de toutes les femmes
Messieurs il faut avouer que c'est la vôtre
Parmi toutes celles qui nous enflamment
Il y a surtout la femme des autres
Dans cette vie pleine d'échecs
On croise aux bras de sales mecs
Des p't**es chéries qu'on a connues
Jadis en petite tenue
Et qui n'a pas le cœur serré
Aux noces d'un ancien ami
Crié je t'aime à la mariée
En gardant sa poignée de riz
Qui dans sa robe blanche d'impératrice
Vous glisse un p' t** regard discret
Qui ré ouvre la cicatrice
Et n'fait qu'accroître nos regrets
Et on se dit au fond de soi
Encore un amour qui s'envole
Cette fois c'est sûr on n'ira pas
Plus voir Venise et les gondoles
(Au refrain)
Surtout quand un sale jour c'est plus la nôtre
Dans cette vie pleine d'échecs
On croise au bras de pauvres mecs
Des p't**es chéries qu'on a connues
Jadis en petite tenue
Et qui n'a pas le cœur serré
Aux noces d'un ancien ami
Crié je t'aime à la mariée
En gardant sa poignée de riz
Crié je t'aime à la mariée
En gardant sa poignée de riz
On croise seules ou bien pendues
Aux bras d'inconnus qu'on déteste
Des femmes au charme manifeste
Ca nous fait comme dans Les Passantes
La jolie chanson de Brassens
On a le cœur qui déjante
Et le temps d'un flash on en pince
Pour une beauté sophistiquée
A l'arrière de sa limousine
Une étudiante aux yeux cernés
Qui monte les marches de Dauphine
Devant la sortie de l'école
Pour une bien jolie maman
Dont les journées sont bien trop folles
Pour s'encombrer du moindre amant
La plus jolie de toutes les femmes
Messieurs il faut avouer que c'est la vôtre
Parmi toutes celles qui nous enflamment
Il y a surtout la femme des autres
Dans cette vie pleine d'échecs
On croise aux bras de sales mecs
Des p't**es chéries qu'on a connues
Jadis en petite tenue
Et qui n'a pas le cœur serré
Aux noces d'un ancien ami
Crié je t'aime à la mariée
En gardant sa poignée de riz
Qui dans sa robe blanche d'impératrice
Vous glisse un p' t** regard discret
Qui ré ouvre la cicatrice
Et n'fait qu'accroître nos regrets
Et on se dit au fond de soi
Encore un amour qui s'envole
Cette fois c'est sûr on n'ira pas
Plus voir Venise et les gondoles
(Au refrain)
Surtout quand un sale jour c'est plus la nôtre
Dans cette vie pleine d'échecs
On croise au bras de pauvres mecs
Des p't**es chéries qu'on a connues
Jadis en petite tenue
Et qui n'a pas le cœur serré
Aux noces d'un ancien ami
Crié je t'aime à la mariée
En gardant sa poignée de riz
Crié je t'aime à la mariée
En gardant sa poignée de riz