Au talon des ses souliers
Les rues des jours de marché qui comptent épargnoler
Par fumée d'orange et de piment
Un régime en d'olivier, bordé de citronniers avait une maison devant
Mes premières joies du cœur devant un champ de fleurs
Son marqué de roses et d'amitié
Quand je pense que ces instants, je sens que mon accent
Revient comme il était avant
On emporte un peu sa ville
Aux talons de ses souliers
Quand pour vivre plus tranquille
On doit tout abandonner
Solo
Les arcades tamisées où les petits cafés
Semblent s'allonger sur les trottoirs
La vieille maison de pierres, au coin du cimetière
Où dort notre page d'histoire
Les couleurs de la montagne
Sous le ciel qui s'enflamme, par le feu tout proche du désert
Ces autant de souvenirs, qu'on ne peut pas détruire
Pourtant ils nous ont fait souffrir
Refrain
Que l'on vive n'importe où, l'accent nous suit partout
Comme une ombre doublée d'un miroir
On le porte comme un drapeau, planté sur chaque mots
Depuis qu'on a pris le départ
Refrain (2 fois)
Les rues des jours de marché qui comptent épargnoler
Par fumée d'orange et de piment
Un régime en d'olivier, bordé de citronniers avait une maison devant
Mes premières joies du cœur devant un champ de fleurs
Son marqué de roses et d'amitié
Quand je pense que ces instants, je sens que mon accent
Revient comme il était avant
On emporte un peu sa ville
Aux talons de ses souliers
Quand pour vivre plus tranquille
On doit tout abandonner
Solo
Les arcades tamisées où les petits cafés
Semblent s'allonger sur les trottoirs
La vieille maison de pierres, au coin du cimetière
Où dort notre page d'histoire
Les couleurs de la montagne
Sous le ciel qui s'enflamme, par le feu tout proche du désert
Ces autant de souvenirs, qu'on ne peut pas détruire
Pourtant ils nous ont fait souffrir
Refrain
Que l'on vive n'importe où, l'accent nous suit partout
Comme une ombre doublée d'un miroir
On le porte comme un drapeau, planté sur chaque mots
Depuis qu'on a pris le départ
Refrain (2 fois)