On trinque à la coupe, aux victoires que l'on a pas eues
Je passe ma main dans tes cheveux crois-tu que l'on s'en remettra
Tu relèves les paupières, vertes ou bleues
Des nuits blanches passées, autour de tes yeux
On croise le fer et je croise les doigts
Si le parti s'est effondré, la campagne reste belle
Oser, oser tendre
Nos bras vidés, revenir
Oser, oser prendre
Les courants contraires, revenir à quai
Des champs qui s'étendent et le vide laissé
De longues plaines, l'empreinte des batailles anciennes
On court le souffle court mais qu'est-c'qui nous fait encore rêver
Après autant d'efforts, il nous reste des sourires de dingues
Oser, oser tendre
Nos bras vidés, revenir
Oser, oser prendre
Les courants contraires, revenir à quai
Tout reste à faire, souvent tu me le disais
Sans vraiment trop y croire, je t'entends encore
Tout reste à faire, souvent tu le criais
Sans vraiment trop savoir
Je t'attends encore, tout reste à faire, tout reste à faire
Tout reste à faire, souvent tu le criais
Sans vraiment trop savoir, je t'attends encore
Je passe ma main dans tes cheveux crois-tu que l'on s'en remettra
Tu relèves les paupières, vertes ou bleues
Des nuits blanches passées, autour de tes yeux
On croise le fer et je croise les doigts
Si le parti s'est effondré, la campagne reste belle
Oser, oser tendre
Nos bras vidés, revenir
Oser, oser prendre
Les courants contraires, revenir à quai
Des champs qui s'étendent et le vide laissé
De longues plaines, l'empreinte des batailles anciennes
On court le souffle court mais qu'est-c'qui nous fait encore rêver
Après autant d'efforts, il nous reste des sourires de dingues
Oser, oser tendre
Nos bras vidés, revenir
Oser, oser prendre
Les courants contraires, revenir à quai
Tout reste à faire, souvent tu me le disais
Sans vraiment trop y croire, je t'entends encore
Tout reste à faire, souvent tu le criais
Sans vraiment trop savoir
Je t'attends encore, tout reste à faire, tout reste à faire
Tout reste à faire, souvent tu le criais
Sans vraiment trop savoir, je t'attends encore