(Claude Moine / Pierre Papadiamandis)
Sur une route menant nulle part, y'a toujours un c***n qui s'égare
Un lapin piégé par des phares, un chat frileux qu'a peur du noir
Et toi, tu rôdes
Et puis tu subis les regards des autres qui te trouvent très bizarre
Un vagabond en liberté, ça les gêne, ça peut déranger
Et toi, tu rôdes.
T'avais vraiment pas besoin d'ça, tu dois fuir sans te retourner
T'avais vraiment pas besoin d'ça, puis tu bondis hors de ton lit
Tu es en sueur, ton corps a peur.
Ce cauchemar était pourtant vrai, comme chantait Billie Holiday
D'étranges fruits poussent sur les arbres
Leurs branches sont couvertes de larmes, et toi, tu rôdes.
T'avais vraiment pas besoin d'ça mais la vie peut nous rattraper
T'avais vraiment pas besoin d'ça, reste vigilant, l'odeur du sang
Peut revenir, peut ressurgir.
T'avais vraiment pas besoin d'ça, tu dois fuir sans te retourner
T'avais vraiment pas besoin d'ça, reste vigilant, l'odeur du sang
Peut revenir, peut ressurgir.
Sur une route menant nulle part, y'a toujours un c***n qui s'égare
Un lapin piégé par des phares, un chat frileux qu'a peur du noir
Et toi, tu rôdes
Et puis tu subis les regards des autres qui te trouvent très bizarre
Un vagabond en liberté, ça les gêne, ça peut déranger
Et toi, tu rôdes.
T'avais vraiment pas besoin d'ça, tu dois fuir sans te retourner
T'avais vraiment pas besoin d'ça, puis tu bondis hors de ton lit
Tu es en sueur, ton corps a peur.
Ce cauchemar était pourtant vrai, comme chantait Billie Holiday
D'étranges fruits poussent sur les arbres
Leurs branches sont couvertes de larmes, et toi, tu rôdes.
T'avais vraiment pas besoin d'ça mais la vie peut nous rattraper
T'avais vraiment pas besoin d'ça, reste vigilant, l'odeur du sang
Peut revenir, peut ressurgir.
T'avais vraiment pas besoin d'ça, tu dois fuir sans te retourner
T'avais vraiment pas besoin d'ça, reste vigilant, l'odeur du sang
Peut revenir, peut ressurgir.