(Alain Souchon / Laurent Voulzy)
Tranquille et la tête ailleurs, c'était un petit rêveur
Dans la ville, en rang, les enfants obéissaient gentiment
Mais lui faisait ses p't**es bricoles au lieu d'aller à l'école
On sentait par ses éléments qu'il était différent
Il était loin, loin, loin, loin.
Et puis vint, dans son coeur, l'émoi de l'amour qui nous envole
Baby Doll, je suis à toi, comme le chantaient ses idoles
Mais elle voulait petit bébé et la jolie maison neuve
Mais lui, son regard déjà était de l'autre côté du fleuve
Il était loin, loin, loin, loin.
En parlant aux gens ou aux agents, en lisant les circulaires
Il rêvait, souvent, le vent soulevant la poussière
Dans les rues, dans son métier, il n'était là qu'à moitié
L'histoire dit qu'il avait pris l'esprit grande prairie
Il était loin, loin, loin, loin, il était loin, loin, loin, loin.
(Guitare solo)
Il y avait des chevaux sauvages, le soir, dans les embouteillages.
Solitaire, en somme, lonesome, il voyait des paysages.
À la fin du film, tout est dit, le p't** Claude s'appelle Eddy
Et l'histoire dit qu'il avait pris l'esprit grande prairie
Il était loin, loin, loin, loin, il était loin, loin, loin, loin
L'esprit grande prairie
Il était loin, loin, loin, loin, il était loin, loin
L'esprit grande prairie
Il était loin, loin, loin, loin, il était loin, loin
L'esprit grande prairie, il était loin, loin, loin, loin.
Tranquille et la tête ailleurs, c'était un petit rêveur
Dans la ville, en rang, les enfants obéissaient gentiment
Mais lui faisait ses p't**es bricoles au lieu d'aller à l'école
On sentait par ses éléments qu'il était différent
Il était loin, loin, loin, loin.
Et puis vint, dans son coeur, l'émoi de l'amour qui nous envole
Baby Doll, je suis à toi, comme le chantaient ses idoles
Mais elle voulait petit bébé et la jolie maison neuve
Mais lui, son regard déjà était de l'autre côté du fleuve
Il était loin, loin, loin, loin.
En parlant aux gens ou aux agents, en lisant les circulaires
Il rêvait, souvent, le vent soulevant la poussière
Dans les rues, dans son métier, il n'était là qu'à moitié
L'histoire dit qu'il avait pris l'esprit grande prairie
Il était loin, loin, loin, loin, il était loin, loin, loin, loin.
(Guitare solo)
Il y avait des chevaux sauvages, le soir, dans les embouteillages.
Solitaire, en somme, lonesome, il voyait des paysages.
À la fin du film, tout est dit, le p't** Claude s'appelle Eddy
Et l'histoire dit qu'il avait pris l'esprit grande prairie
Il était loin, loin, loin, loin, il était loin, loin, loin, loin
L'esprit grande prairie
Il était loin, loin, loin, loin, il était loin, loin
L'esprit grande prairie
Il était loin, loin, loin, loin, il était loin, loin
L'esprit grande prairie, il était loin, loin, loin, loin.