Si le soir descend enfin, aidé par les ailes du vent
Si la nuit parmi les étoiles veut nous laisser le temps
Enfant de rêve quand les fêtes s'achèvent, nous refusons le vide devant
On parle à peine de ces heures pleines que la vie conjugue au présent
Elle chante encore plus fort dans le corps des gens
Pour nos rêves de géant, les lumières brillent au fond
Mais le vide est grand dans les scènes qui s'allument
Quand nos cœurs sont sur ses bancs, vivre et pourtant
Dans les jardins d'enfants, à chaque instant
Nos cœurs s'effacent face au temps qui passe
On écoute en chantant la vie des gens dans les jardins d'enfants
Les rêves étonnent un peu pour ce qu'enfin ils donnent
Les minutes passent, s'a**eyent en face, plus jamais ne sonnent
Devant les remords et les coups du sort
Les voix se sont tues, face aux larmes des yeux
Il parle d'hiver et refuse d'y voir clair, la pluie coule en faisant de son mieux
Si le temps nous laisse encore le choix des saisons
S'il veut nous donner raison
Oublions les heures froides dans nos chansons
Face aux scènes qui s'allument
Quand nos cœurs sont sur ses bancs, vivre et pourtant.
Dans les jardins d'enfants, à chaque instant
Nos cœurs s'effacent face au temps qui passe
On écoute en chantant la vie des gens dans les jardins d'enfants
Dans les jardins d'enfants, à chaque instant
Nos cœurs s'effacent face au temps qui passe
On écoute en chantant la vie des gens dans les jardins d'enfants
Envie de crier, envie d'exister, envie d'oublier les grands
De tout retourner dedans et d'un coup de cœur vider les rumeurs
D'un de ces jardins d'enfants, si les scènes au fond s'allument
C'est qu'un gosse vient devant, eh eh...
Dans les jardins d'enfants, à chaque instant
Nos cœurs s'effacent face au temps qui passe
On écoute en chantant la vie des gens dans les jardins d'enfants.
Si la nuit parmi les étoiles veut nous laisser le temps
Enfant de rêve quand les fêtes s'achèvent, nous refusons le vide devant
On parle à peine de ces heures pleines que la vie conjugue au présent
Elle chante encore plus fort dans le corps des gens
Pour nos rêves de géant, les lumières brillent au fond
Mais le vide est grand dans les scènes qui s'allument
Quand nos cœurs sont sur ses bancs, vivre et pourtant
Dans les jardins d'enfants, à chaque instant
Nos cœurs s'effacent face au temps qui passe
On écoute en chantant la vie des gens dans les jardins d'enfants
Les rêves étonnent un peu pour ce qu'enfin ils donnent
Les minutes passent, s'a**eyent en face, plus jamais ne sonnent
Devant les remords et les coups du sort
Les voix se sont tues, face aux larmes des yeux
Il parle d'hiver et refuse d'y voir clair, la pluie coule en faisant de son mieux
Si le temps nous laisse encore le choix des saisons
S'il veut nous donner raison
Oublions les heures froides dans nos chansons
Face aux scènes qui s'allument
Quand nos cœurs sont sur ses bancs, vivre et pourtant.
Dans les jardins d'enfants, à chaque instant
Nos cœurs s'effacent face au temps qui passe
On écoute en chantant la vie des gens dans les jardins d'enfants
Dans les jardins d'enfants, à chaque instant
Nos cœurs s'effacent face au temps qui passe
On écoute en chantant la vie des gens dans les jardins d'enfants
Envie de crier, envie d'exister, envie d'oublier les grands
De tout retourner dedans et d'un coup de cœur vider les rumeurs
D'un de ces jardins d'enfants, si les scènes au fond s'allument
C'est qu'un gosse vient devant, eh eh...
Dans les jardins d'enfants, à chaque instant
Nos cœurs s'effacent face au temps qui passe
On écoute en chantant la vie des gens dans les jardins d'enfants.