J'aimerais tant te promettre la lune
Je ne connais rien
De toi, de nos chemins
Je te parle comme ça
Par peur d'être sourd
Muet, quand mon tour viendra
Comme je t'imagine
En jupe ou en jean
Te jetant dans mes bras
Se dessinent au loin
Les nuits qui n'en finissent pas
J'aimerais tant te promettre la lune
Mais la lune est déjà prise
Livrer pour toi les clés de la fortune
Dans un monde un peu paisible
Et si je me fatigue
À trop vouloir gagner
Je n'ai rien à t'offrir
Tu n'es pas encore né(e)
Je te parlerais de ma vie
Comme elle peut faire envie
Et décevoir souvent
Comment s'enchaînent
Les joies les douleurs, tout l'temps
Je te parlerais de celle
Qui m'a pris sous son aile
Sans que je sache comment
Celle que tu appelleras
Un jour ou l'autre Maman
J'aimerais tant te promettre la lune
Mais la lune est déjà prise
Livrer pour toi les clés de la fortune
Dans un monde un peu paisible
Mais les hommes se fatiguent
À trop vouloir gagner
Rêver ne vaux pas vivre
Tu n'es pas encore né(e)
Mais rien de tout cela
Dans la chambre du bas
Où résonne à peine
Le bruit de mes pas
Juste une frise au mur
Et un mobile qui ne tourne pas
Et j'évoque malgré moi
Le vide d'ici-bas
Tout ce qui sans toi ne m'intéresse pas
Je soigne mes blessures
Je sais... que tu me viens déjà
J'aimerais tant te promettre la lune
Mais la lune est déjà prise
Livrer pour toi les clés de la fortune
Dans un monde un peu paisible
J'aimerais tant te promettre la lune
Je ne connais rien
De toi, de nos chemins
Je te parle comme ça
Par peur d'être sourd
Muet, quand mon tour viendra
Comme je t'imagine
En jupe ou en jean
Te jetant dans mes bras
Se dessinent au loin
Les nuits qui n'en finissent pas
J'aimerais tant te promettre la lune
Mais la lune est déjà prise
Livrer pour toi les clés de la fortune
Dans un monde un peu paisible
Et si je me fatigue
À trop vouloir gagner
Je n'ai rien à t'offrir
Tu n'es pas encore né(e)
Je te parlerais de ma vie
Comme elle peut faire envie
Et décevoir souvent
Comment s'enchaînent
Les joies les douleurs, tout l'temps
Je te parlerais de celle
Qui m'a pris sous son aile
Sans que je sache comment
Celle que tu appelleras
Un jour ou l'autre Maman
J'aimerais tant te promettre la lune
Mais la lune est déjà prise
Livrer pour toi les clés de la fortune
Dans un monde un peu paisible
Mais les hommes se fatiguent
À trop vouloir gagner
Rêver ne vaux pas vivre
Tu n'es pas encore né(e)
Mais rien de tout cela
Dans la chambre du bas
Où résonne à peine
Le bruit de mes pas
Juste une frise au mur
Et un mobile qui ne tourne pas
Et j'évoque malgré moi
Le vide d'ici-bas
Tout ce qui sans toi ne m'intéresse pas
Je soigne mes blessures
Je sais... que tu me viens déjà
J'aimerais tant te promettre la lune
Mais la lune est déjà prise
Livrer pour toi les clés de la fortune
Dans un monde un peu paisible
J'aimerais tant te promettre la lune