C'est sous le pont du bois de chêne, que son petit corps putréfié
Gît depuis quelques semaines, impossible à identifier
C'est sous ce pont du bois de chêne qu'elle rendit son dernier soupir
Pourtant nous passions par centaine sans prendre le temps de ralentir
Pourtant le pont du bois de chêne n'est pas perdu dans la nature
Distant de quelques mètres a peine
D'où passent des milliers de voitures
Alors pourquoi aujourd'hui personne ne veut la voir pourrir
Nous étions des milliers ce jour la, juste à la regarder mourir
Nous étions quelques un pourtant, quelques humains passant par la
Aveuglés nous disqualifiant, à nous dire qu'elle ne sauterait pas
A trouver mile et une raison pour ne pas lui porter secours jouer les héros ce serait con, je suis déjà très a la bourre
Oui mais voila demain matin, en feuilletant le journal du jour
Nous serons quelques crétins, à trouver notre ego trop lourd
Lisant ces lignes a**assines, dans la rubrique des faits divers
Nous apprendrons que la gamine, avait osé se f***re en l'air
C'est sous le pont du bois de chêne qu'elle rendit son dernier soupir
Pourtant nous passions par centaine sans prendre le temps de ralentir
Nous sommes pourtant quelques milliers
A passer par la chaque jour
Mais l'indifférence nous met, un peu plus en r***** chaque jour
Gît depuis quelques semaines, impossible à identifier
C'est sous ce pont du bois de chêne qu'elle rendit son dernier soupir
Pourtant nous passions par centaine sans prendre le temps de ralentir
Pourtant le pont du bois de chêne n'est pas perdu dans la nature
Distant de quelques mètres a peine
D'où passent des milliers de voitures
Alors pourquoi aujourd'hui personne ne veut la voir pourrir
Nous étions des milliers ce jour la, juste à la regarder mourir
Nous étions quelques un pourtant, quelques humains passant par la
Aveuglés nous disqualifiant, à nous dire qu'elle ne sauterait pas
A trouver mile et une raison pour ne pas lui porter secours jouer les héros ce serait con, je suis déjà très a la bourre
Oui mais voila demain matin, en feuilletant le journal du jour
Nous serons quelques crétins, à trouver notre ego trop lourd
Lisant ces lignes a**assines, dans la rubrique des faits divers
Nous apprendrons que la gamine, avait osé se f***re en l'air
C'est sous le pont du bois de chêne qu'elle rendit son dernier soupir
Pourtant nous passions par centaine sans prendre le temps de ralentir
Nous sommes pourtant quelques milliers
A passer par la chaque jour
Mais l'indifférence nous met, un peu plus en r***** chaque jour