Je veux des critiques
Je les sohaite dithyrambiques
Qu'on me donne mon sceptre
Puis j'ordonne à mes forces inertes
De sortir de leur torpeur
Je ne peux avoir le beurre
Et l'argent de ma sueur
Qu'on me donne du fil a retordre,
Je le tordrai dans un pur désordre
Je veux des étoiles pour ces mots
Je veux des mots que rien n'égale
Je me régale de vos mots
Donnez en donc aux maudit mâles
Qui démontent, désarticulent
Vos préceptes, c'est vital
Le flot de pensées coagule
L'hemorragie reste verbale
Mes vieux démons je les encule
Lors de mes orgies cérébrales
Je me delecte de mes faiblesse
Je les abreuve d'un mauvais vin de Metz
En créant mes pensées obscures
Je n'atteindrai pas le port c'est sur
Alors je plonge, encore
Brise le mirroir, la surface de l'eau
Stagnante, noire,
Six pieds sous terre, la lumière jamais ne rentre
A combien de brasses je l'estime
La berge de mes pensées intimes
Je jette les étoiles dans les flots
Et fait des vagues sur la toile
La profondeur d'un idiot
C'est bon et rare comme un o*****e v*****l
La glace est fragile en surface
Dans les hauts fonds poser des nasses
Pour capturer les amérantes
Que jamais la surface ne tente
Pas d'interêt pour la terre ferme
Trop rassurées sur terre instable
Je sodomise les sirènes
Dans le fond elle sont si affables
Alors je plonge, encore
Brise le mirroir, la surface de l'eau
Stagnante, noire,
Six pieds sous terre, la lumière jamais ne rentre
A combien de brasses je l'estime
La berge de mes pensées intimes
Plus je rame,
Plus je rame et plus le port s'eloigne
Paradoxe, paradoxe du mec peu orthodoxe du border line
Plus je rame et plus tu t'eloignes...
Je les sohaite dithyrambiques
Qu'on me donne mon sceptre
Puis j'ordonne à mes forces inertes
De sortir de leur torpeur
Je ne peux avoir le beurre
Et l'argent de ma sueur
Qu'on me donne du fil a retordre,
Je le tordrai dans un pur désordre
Je veux des étoiles pour ces mots
Je veux des mots que rien n'égale
Je me régale de vos mots
Donnez en donc aux maudit mâles
Qui démontent, désarticulent
Vos préceptes, c'est vital
Le flot de pensées coagule
L'hemorragie reste verbale
Mes vieux démons je les encule
Lors de mes orgies cérébrales
Je me delecte de mes faiblesse
Je les abreuve d'un mauvais vin de Metz
En créant mes pensées obscures
Je n'atteindrai pas le port c'est sur
Alors je plonge, encore
Brise le mirroir, la surface de l'eau
Stagnante, noire,
Six pieds sous terre, la lumière jamais ne rentre
A combien de brasses je l'estime
La berge de mes pensées intimes
Je jette les étoiles dans les flots
Et fait des vagues sur la toile
La profondeur d'un idiot
C'est bon et rare comme un o*****e v*****l
La glace est fragile en surface
Dans les hauts fonds poser des nasses
Pour capturer les amérantes
Que jamais la surface ne tente
Pas d'interêt pour la terre ferme
Trop rassurées sur terre instable
Je sodomise les sirènes
Dans le fond elle sont si affables
Alors je plonge, encore
Brise le mirroir, la surface de l'eau
Stagnante, noire,
Six pieds sous terre, la lumière jamais ne rentre
A combien de brasses je l'estime
La berge de mes pensées intimes
Plus je rame,
Plus je rame et plus le port s'eloigne
Paradoxe, paradoxe du mec peu orthodoxe du border line
Plus je rame et plus tu t'eloignes...