il fallait bien que je les dise un jour
mes mots les plus tendres, mes mots d'amour
à celle qui m'a touché la première
le premier visage au bout de mes doigts
il fallait bien que je parle tout bas
de ces caresses que je n'oublierai pas
de toutes les nuits où tu ne dormais pas
quand l'homme de ta vie, c'est devenu moi
ce soi, comme l'enfant que j'étais
ce soir, ce que tu attendais
ce soi, les mercis que j'ai gardé
sans jamais avoir osé
ce soir
il fallait bien te serrer contre moi
ça fait trop longtemps que je n'osais pas
dire, le je t'aime qui n'appartient qu'à toi
comme celui que je t'ai dit la première fois
ce soi, comme l'enfant que j'étais
ce soir, ce que tu attendais
ce soi, les mercis que j'ai gardé
sans jamais avoir osé
ce soir
(bis)
mes mots les plus tendres, mes mots d'amour
à celle qui m'a touché la première
le premier visage au bout de mes doigts
il fallait bien que je parle tout bas
de ces caresses que je n'oublierai pas
de toutes les nuits où tu ne dormais pas
quand l'homme de ta vie, c'est devenu moi
ce soi, comme l'enfant que j'étais
ce soir, ce que tu attendais
ce soi, les mercis que j'ai gardé
sans jamais avoir osé
ce soir
il fallait bien te serrer contre moi
ça fait trop longtemps que je n'osais pas
dire, le je t'aime qui n'appartient qu'à toi
comme celui que je t'ai dit la première fois
ce soi, comme l'enfant que j'étais
ce soir, ce que tu attendais
ce soi, les mercis que j'ai gardé
sans jamais avoir osé
ce soir
(bis)