Je sais j'abuse d'Irlande et d'alcool,
Du parfum des épaules, des filles qui viennent à la maison.
Je serre le corps des filles aux yeux clairs,
Le regard loin derrière à l'horizon.
Je serre les filles au corps de poussière.
Si je ferme les yeux, je te vois mieux.
Même si j'étends parfois le champ de mes caresses,
Je n'ai d'yeux que pour toi et pas d'autre déesse.
Mais je reviendrai vers toi, je reviendrai vers toi
Aussi longtemps que rien ne m'y oblige,
Que rien ne m'y oblige.
Mes nuits s'habillent d'orage et d'éc**e,
Enroulées sur les dunes, des femmes qui dorment sous le vent.
Les vagues me mènent à l'îlot de sable où les morts dînent à table,
Chez les vivants.
Même si je ne sais pas le sens du mot sagesse,
Je n'ai d'yeux que pour toi et pas d'autre déesse.
Mais je reviendrai vers toi, je reviendrai vers toi,
Aussi longtemps que rien ne m'y oblige,
C'est mon sang qui l'exige.
Je reviendrai vers toi, je reviendrai vers toi.
Du parfum des épaules, des filles qui viennent à la maison.
Je serre le corps des filles aux yeux clairs,
Le regard loin derrière à l'horizon.
Je serre les filles au corps de poussière.
Si je ferme les yeux, je te vois mieux.
Même si j'étends parfois le champ de mes caresses,
Je n'ai d'yeux que pour toi et pas d'autre déesse.
Mais je reviendrai vers toi, je reviendrai vers toi
Aussi longtemps que rien ne m'y oblige,
Que rien ne m'y oblige.
Mes nuits s'habillent d'orage et d'éc**e,
Enroulées sur les dunes, des femmes qui dorment sous le vent.
Les vagues me mènent à l'îlot de sable où les morts dînent à table,
Chez les vivants.
Même si je ne sais pas le sens du mot sagesse,
Je n'ai d'yeux que pour toi et pas d'autre déesse.
Mais je reviendrai vers toi, je reviendrai vers toi,
Aussi longtemps que rien ne m'y oblige,
C'est mon sang qui l'exige.
Je reviendrai vers toi, je reviendrai vers toi.