Ils me trouvent génial,
Mes mauvais tours les émerveillent
Tous les ans c'est le triomphe et la gloire
Je leur fais des surprises, quand la lune s'éveille
Et ils crient avant de m'apercevoir
Sans le moindre effort je m'amuse à jouer au fantôme
Et presqu'aussitôt c'est la panique !
Un seul geste banale, si l'on sait faire "BOUH!"
Fait fuir sur le champ l'armée la plus stoïque
Mais, jours après jours c'est la même déprime
Je n'éprouve plus rien en commettant mes crimes
Et moi Jack l'épouvantail !
J'avoue me lasser de la même bataille
Dans mon vieux corps il règne aujourd'hui
Une bien étrange mélancolie
Pour moi la vie n'est qu'un long sanglot
Mon cœur éclate, la mort est mon lot
Je suis l'esprit du mal,
Le génie infernal,
Les revenants ne vont pas en revenir.
Je suis marié à la peur,
L'horreur et la terreur,
Pour le meilleur et surtout le pire.
Et comme je suis mort,
Je me sers de mon crane,
Pour réciter "Etre ou ne pas être".
Lorsque l'envie m'en prend,
Mes cris fracassants,
Résonnes à plus de 120 km
Un jour, oui
Pourrais-je me faire entendre
Moi l'épouvantail qu'on est privé d'entrailles
Je ne veux plus de ma couronne
Comment pourraient-ils comprendre !
S'ils savaient seulement,
Comme j'aimerais la rendre
Je traine sans but
Mes vieux os fourbus
Je me languis, de l'inconnu
Pouvoir et gloire, sont bien dérisoires
Face aux méandres de mon désespoir.
Mes mauvais tours les émerveillent
Tous les ans c'est le triomphe et la gloire
Je leur fais des surprises, quand la lune s'éveille
Et ils crient avant de m'apercevoir
Sans le moindre effort je m'amuse à jouer au fantôme
Et presqu'aussitôt c'est la panique !
Un seul geste banale, si l'on sait faire "BOUH!"
Fait fuir sur le champ l'armée la plus stoïque
Mais, jours après jours c'est la même déprime
Je n'éprouve plus rien en commettant mes crimes
Et moi Jack l'épouvantail !
J'avoue me lasser de la même bataille
Dans mon vieux corps il règne aujourd'hui
Une bien étrange mélancolie
Pour moi la vie n'est qu'un long sanglot
Mon cœur éclate, la mort est mon lot
Je suis l'esprit du mal,
Le génie infernal,
Les revenants ne vont pas en revenir.
Je suis marié à la peur,
L'horreur et la terreur,
Pour le meilleur et surtout le pire.
Et comme je suis mort,
Je me sers de mon crane,
Pour réciter "Etre ou ne pas être".
Lorsque l'envie m'en prend,
Mes cris fracassants,
Résonnes à plus de 120 km
Un jour, oui
Pourrais-je me faire entendre
Moi l'épouvantail qu'on est privé d'entrailles
Je ne veux plus de ma couronne
Comment pourraient-ils comprendre !
S'ils savaient seulement,
Comme j'aimerais la rendre
Je traine sans but
Mes vieux os fourbus
Je me languis, de l'inconnu
Pouvoir et gloire, sont bien dérisoires
Face aux méandres de mon désespoir.