Il font exactement l'inverse de ce que le peuple en attend,
agissant comme sous le coup puissant d'un divin commandement.
Foutaises
Nous sommes bien plus nombreux qu'ils ne peuvent s'y attendre,
depuis le temps que le feu brûle et que nous balayons les cendres.
Et cette chaleur comme émanent directement de l'enfer,
nuits et jours nous étouffent venant nous priver de notre air.
La terre est sèche,
mes c**tures décèdent et nous avec
et ce n'est pas le soleil qui nous brûle mais bien leur gaz infecte.
J'ai lutté longtemps,
indéfendable empoisonneur d'enfants,
l'or noir détruit chez nous tout autant que là bas,
chaque jour il rapporte de l'argent.
J'ai lutté longtemps,
empoisonneur d'enfants, l'or noir détruit chez nous tout autant que là bas chaque jour il rapporte de l'argent.
Eteignez les torches de feux,
émanations de gaz toxiques brûlées sous nos yeux.
Mon village est mort,
les feuilles des arbres sont noires
et dans le fleuve qui traverse l'âme en grand est sans espoir.
Les flaques d'huiles ont envahi les marécages,
et celui qui ouvre sa gueule finira sa vie en cage.
Voilà pourquoi je tousse et malgré tout je veux y croire,
baladé entre l'envie de vivre la force et le désespoir.
J'ai lutté longtemps,
indéfendable empoisonneur d'enfants,
l'or noir détruit chez nous tout autant que là bas,
chaque jour il rapporte de l'argent.
J'ai lutté longtemps,
empoisonneur d'enfants, l'or noir détruit chez nous tout autant que là bas chaque jour il rapporte de l'argent.
Raccourcir nos vies et feindre de ne pas le voir,
mensonges ,hypocrisie contre maladies respiratoires.
Rien en retour, pas d'énergie, pas une goutte, pas même l'eau courante,
est-ce que vous comprenez nos doutes?
J'attire l'œil de la planète sur ma déroute,
et des prières jours et nuits pour qu'enfin quelqu'un m'écoute.
Faudra t-il que nous prenions les armes? Je le redoute, nous n'étions pas faits pour combattre,
mais nous vivrons coûte que coûte.
agissant comme sous le coup puissant d'un divin commandement.
Foutaises
Nous sommes bien plus nombreux qu'ils ne peuvent s'y attendre,
depuis le temps que le feu brûle et que nous balayons les cendres.
Et cette chaleur comme émanent directement de l'enfer,
nuits et jours nous étouffent venant nous priver de notre air.
La terre est sèche,
mes c**tures décèdent et nous avec
et ce n'est pas le soleil qui nous brûle mais bien leur gaz infecte.
J'ai lutté longtemps,
indéfendable empoisonneur d'enfants,
l'or noir détruit chez nous tout autant que là bas,
chaque jour il rapporte de l'argent.
J'ai lutté longtemps,
empoisonneur d'enfants, l'or noir détruit chez nous tout autant que là bas chaque jour il rapporte de l'argent.
Eteignez les torches de feux,
émanations de gaz toxiques brûlées sous nos yeux.
Mon village est mort,
les feuilles des arbres sont noires
et dans le fleuve qui traverse l'âme en grand est sans espoir.
Les flaques d'huiles ont envahi les marécages,
et celui qui ouvre sa gueule finira sa vie en cage.
Voilà pourquoi je tousse et malgré tout je veux y croire,
baladé entre l'envie de vivre la force et le désespoir.
J'ai lutté longtemps,
indéfendable empoisonneur d'enfants,
l'or noir détruit chez nous tout autant que là bas,
chaque jour il rapporte de l'argent.
J'ai lutté longtemps,
empoisonneur d'enfants, l'or noir détruit chez nous tout autant que là bas chaque jour il rapporte de l'argent.
Raccourcir nos vies et feindre de ne pas le voir,
mensonges ,hypocrisie contre maladies respiratoires.
Rien en retour, pas d'énergie, pas une goutte, pas même l'eau courante,
est-ce que vous comprenez nos doutes?
J'attire l'œil de la planète sur ma déroute,
et des prières jours et nuits pour qu'enfin quelqu'un m'écoute.
Faudra t-il que nous prenions les armes? Je le redoute, nous n'étions pas faits pour combattre,
mais nous vivrons coûte que coûte.